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Blasons des communes de la Somme.

Gueudecourt

Publié le 26 Novembre 2024 par remus80

La commune ne possède pas de blason officiel.

 

 

Projet de blason proposé par Jacques Dulphy avec une tête de Caribou pour le mémorial Terre-neuvien et trois gerbes de blé d'or évoquant Notre-Dame des orages, statue protégeant le village et les moissons des orages et de la foudre, les couleurs sont celles de l'abbaye Saint-Fursy de Péronne.

Gueudecourt

 

 

Une partie de la seigneurie dépendait des Etats d'Artois et de Lille.

- En 1269, Jean de Cans, chevalier, et Marie sa femme, notifient qu'en présence de Robert de Gueudecourt, dit Brûlin, ils ont vendu à Guillaume de Gouy, chapelain de la cathédrale (d'Arras, de toute évidence), en faveur de sa chapellenie, 35 mencaudées de terre à Gueudecourt  (Cartulaire des chapellenies d'Arras, manuscrit de 1282 édité en 1907, mémoires de l'Académie d'Arras, fasc 38).

En 1271, le même Robert , dit Brûlin (dictus Brocelins), écuyer, maïeur de Gueudecourt, s'engage en qualité de "seigneur dominant". Cité encore en 1276.

- En 1316, Nicolas de Gueudecourt (ou Gudecourt), mort cette année en charge, est maïeur de Péronne.

Hélas les armes de ces De Gueudecourt ne sont pas connues !

- Le 17 février 1755 à Péronne, une commission de lieutenant de Gueudecourt est donnée par le chapitre de Saint-Fursy de Péronne à Antoine Bauduin, laboureur à Gueudecourt. Le chapitre de Saint-Fursy est donc seigneur de gueudecourt !

Gueudecourt

Abbaye Saint-Fursy

*

Eglise Saint Pierre

Gueudecourt

Aquarelle d'O.Macqueron 1876-bibliothèque d'Abbeville.

Gueudecourt

 

L'église a été détruite lors de la 1ère guerre.

 

Gueudecourt

 

 

  • Clocher Saint-Pierre, petit clocher qui se dresse à l'emplacement de l'église disparue au cours de la Première Guerre mondiale et abrite la cloche.

Gueudecourt

cliché: Markus3

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Longuevillette

Publié le 18 Novembre 2024 par remus80

La commune ne possède pas de blason officiel.

 

Projet de blason proposé par Jacques Dulphy avec la croix des chevaliers hospitaliers de Fieffes, une crosse d'abbé rappelant les possessions de l'abbaye du Gard, le champ d'or, la fasce de gueules et les trois huchets empruntés aux armes de la famille de Coullemont.

Longuevillette

 

 

Ancien établissement templier ; templiers auxquels ont succédé les hospitaliers de Fieffes.

 

Au XVIIe siècle, le prieur de Bagneux (hameau de 52 h en 1698)était seigneur en partie de Longuevillette. Le prieuré de Bagneux, à Longuevillette, consistait en une chapelle sous le vocable de ND.

Il est dit Bagnolet (petit Bagneux) dans un titre de 1349 ; c'était un prieuré de l'ordre de Saint Benoît.

- L'abbaye ND du Gard, près de Picquigny, possédait au XIIIe siècle une grande partie du territoire de Longuevillette, l' autre partie appartenant au prieuré de Bagneux, "à Gézaincourt".

- Jehan de Coullemont, seigneur de Coullemont (Artois, aujourd'hui Pas-de-Calais, qui a relevé ses armes) et de Brillan-Chevalier en 1416, épouse en 1422 Marie de Longuevillette, dame de Longuevillette et de Candas, née en 1406 à Longuevillette et décédée en 1452 à Coullemont.

Longuevillette

Longuevillette

 

Gouache de Marcel Stennon, vers 1987. 

C'était la fille d'Adrien de Longuevillette, seigneur de Longuevillette (1372 - 1415) et de Mahaut de Domart. Cet Adrien de Longuevillette, seigneur de Longuevillette et de Candas, écuyer, fut tué en 1415 à Azincourt. Il n'eut donc qu'une fille, citée plus haut, et fut le dernier du nom.

Croix en grès, au nord du village, sur le chemin de terre, vers la D 925. Elle est citée dans la charte de Doullens en 1209 et correspondrait à la limite de banlieue que le Comte de Ponthieu aurait donnée à la ville de Doullens en 1202

Longuevillette

                                           *

                            Eglise ND de la Nativité   

datant de 1515, elle a été totalement brûlée puis reconstruite au XVIIème..

Elle a connu plusieurs phases de rénovation, particulièrement en 1992 pour sa couverture et en 2011 pour son clocher.

Longuevillette

aquarelle d'O.Macqueron 1876-bibliothèque municipale d'Abbeville.

Longuevillette

Photo : Deroletz

 

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Chuignes

Publié le 13 Novembre 2024 par remus80

La commune ne possède pas de blason officiel.

 

 

Projet de blason proposé par Jacques Dulphy composé d'une cigogne "étymologique" portant dans son bec un écu aux armes de la famille Sentier de Chuignes, dernier seigneur du lieu, les émaux or et azur sont ceux de la famille et de l'abbaye du Mont Saint-Quentin.

Chuignes

 

Etymologie populaire. La tradition orale prétend  , aujourd'hui encore, que le nom de cette localité vient de la présence ancienne de cigognes qui y venaient faire leur nid. René Debrie (Prononciation et étymologie des noms de lieux habités de la Somme, 1974) mentionne cette hypothèse, de même qu'un article dans le Courrier Picard du 3 janvier 2014). Or, il est avéré que cigogne se disait en ancien français et en ancien picard : coigne, choigne, du latin ciconia, en picard moderne chigongne. 

 

La seigneurie dépendait en grande partie de l'abbaye du Mont Saint-Quentin à Péronne.

Chuignes

d'azur, au buste de St-Quentin auréolé d'argent, les épaules transpercées par deux clous du même, accompagné de trois fleurs de lis d'or

 Il a existé une famille "Sentier de Chuignes" ou "Sentier, seigneur de Chuignes", qui portait : "d'azur à deux bandes ondées d'or". Cette famille serait originaire du Perche.

Chuignes

Cette famille, qui possédait un fief restreint à Chuignes, a relevé de nom de la terre, lui montrant son attachement. Elle a donné deux branches en Picardie : Sentier de Chuigne (sic) et Sentier du Plessier. La branche du Plessier a été anoblie par achat d'une charge de Trésorier de France à Amiens en 1700.
Charles-François Sentier (1689-1770) né et mort à Chuignes, chevalier, seigneur de Chuignes, époux de Geneviève-Marie Poulain, est le père de François Sentier né en 1727, seigneur de Chuignes et Hauteloge, écuyer, président-trésorier de France en la généralité d'Amiens, mort en 1765 .
Il était l'époux de Marie-Henriette de Bray, dont une fille, Adélaïde Sentier de Chuigne, épousa en 1783 Jean-Albert de Gaston de Pollier, propriétaire de Vauvineux, et mourut en 1834.
 

                                                                     *

                                                 Eglise Saint-Sulpice

 

Chuignes

Aquarelle d'O.Macqueron 1877-bibliothèque d'Abbeville

 

Chuignes

Chuignes

 

endommagée pendant la 1ère Guerre mondiale.

 

Chuignes

 

 

de nos jours : photo APictche

 

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Neufmoulin

Publié le 11 Novembre 2024 par remus80

La commune ne possède pas de blason officiel.

 

 

Projet de blason proposé par Jacques Dulphy faisant allusion à l'abbaye royale voisine, avec une crosse d'abbé et deux fleurs de lys, une divise ondée évoquant la rivière du Scardon avec une roue de moulin.

Neufmoulin

 

On considérait jusqu'au 18e siècle Neufmoulin comme un simple hameau, avec Pré, il était l'un des deux hameaux de la paroisse de Caux (aujourd'hui Caours). Avant 1795, Neufmoulin dépendait de Caours avant de devenir commune à part entière. Neufmoulin demeure de la paroisse de Caours.

Il y a tout lieu de penser que Neufmoulin appartint de tous temps à l'abbaye voisine de Saint-Riquier, c'est ce que la mémoire populaire a toujours prétendu, en tout cas. 

Louis-Charles Manessier (1743-1807), seigneur de Wacourt et Coulonbeauville, officier d'infanterie et lieutenant des maréchaux de France, fut maire de la commune de 1800 à 1807.

Il n'y a pas d'église.

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Brassy

Publié le 1 Novembre 2024 par remus80

La commune ne possède pas de blason officiel.

 

 

Projet de blason proposé par Jacques Dulphy reprenant les armes de la famille De Lattre brisées de l'écu sur l'aigle de la famille de Monsures.

 

Brassy

 

 

Trois fiefs se partageaient le territoire, le fief de Brassy proprement dit, le fief de Nouveau-Lieu et celui de Romont..

 

Le fief de Nouveau-Lieu.

Maillart Mauchevalier, fils de Colart, en fit don en 1406 à Guillaume Mauchevalier.

Jacques Mauchevalier, seigneur de Wailly, le vendit en 1481 à Pierre Caignet, c'est lui sans doute que Louis XI anoblit en 1477 comme contrôleur des finances en Artois et Picardie.

Simone Caignet, fille de François, seigneur de Brassy et Frémontiers, et d'Antoinette Le Normand, aurait épousé Robert Delattre (de Lattre), bourgeois d'Amiens. 

Brassy

De Lattre : d'or à une aigle de sable, becquée et armée de gueules.

 

  Des membres de la famille De Cossart, marquis et comtes, furent seigneurs du fief.

- Jean-Baptiste de Cossart, comte d'Espiès, lieutenant général des armées, commandeur de Saint-Louis, gouverneur de Sainte-Menehould, donna le fief de Nouveau-Lieu (à Brassy) à son frère Louis-Vespasien de Cossart, marquis d'Espiès, maréchal de camp, chevalier de Saint-Louis. Ce fief appartenait en 1789 à Jean-Baptiste-Christophe de Cossart, comte d'Espiès, chevalier de Saint-Louis, capitaine commandant d'escadron de cavalerie au régiment de Septimanie.

Brassy

de Cossart : de gueules à la croix ancrée d'or, chargée de cinq ancres d'azur.

 
 Le fief Romont fut réuni en 1614 au marquisat de Thoix.
 
 Le fief de Brassy, à proprement parler : l'histoire de ce fief commence avec la famille Caignet, déjà citée. Marguerite Caignet, fille de Nicolas et d'Antoinette Le Normand, l'apporte dans la maison De Monsures en 1538 par son mariage avec Jacques de Monsures, écuyer, seigneur de Villers-Vermont.

Brassy

de sable à une croix d'argent chargée de cinq fermaux de gueules.

Son fils Charles de Monsures qui épouse en 1571 Marie de Mercastel.
Puis Jean de Monsures qui décède avant 1659.
Son fils Anne-Florimond de Monsures (1612-1681)
- Géraud-Florimond de Monsures, chevalier, marié en 1681, il meurt en 1718 à Brassy, il semble qu'il vend Brassy aux Delattre (ou De Lattre), déjà seigneurs de Nouveau-Lieu.
 
                                                         *
                                           Eglise Saint-Hubert
 
                                           construite en 1850
 

Brassy

Aquarelle d'O.Macqueron 1877-bibliothèque d'Abbeville.

Brassy

Brassy

Photo : APictche 

 

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Eclusier-Vaux

Publié le 26 Octobre 2024 par remus80

La commune ne possède pas de blason officiel.

 

 

Projet de blason proposé par Jacques Dulphy  associant une écluse d'or (symbolisant le nom du lieu) sur une champagne de sinople chargée de deux anguilles d'argent ( espèce très présente et fêtée localement), surmontée des armes de l'abbaye de Saint-Vaast d'Arras.

 

Eclusier-Vaux

 

La commune d'Éclusier-Vaux est composée de deux entités : le village de Vaux au nord, le plus ancien, et celui d'Éclusier sur les bords de la Somme.

 

Au Moyen-Âge, la donation du domaine de Vaux à l'abbaye Saint Vaast d'Arras fut confirmée. L'abbaye d'Arras à son tour le donna à la prévôté de Mesnil-en-Arrouaise. La création du village d'Éclusier proviendrait de la venue d'habitants de Mesnil-en-Arrouaise 

Eclusier-Vaux

Abbaye St Vaast d'Arras : d'or à la croix ancrée de gueules 

 

Le village a été entièrement détruit lors de la Première Guerre mondiale.

*

Eglise Sainte Marie-Madeleine

Eclusier-Vaux

 

Aquarelle d'O.Macqueron 1877-bibliothèque d'Abbeville

Eclusier-Vaux

 

Eclusier-Vaux

 

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Grandcourt

Publié le 18 Octobre 2024 par remus80

La commune ne possède pas de blason officiel.

 

 

Projet de blason proposé par Jacques Dulphy, reprenant les armes de la famille Dournel et en remplaçant le chevron par une divise ondée symbolisant la rivière Ancre.

Grandcourt

 

Au XIVème siècle un titre de 1315 mentionne comme seigneur Eustache de Bailluel.

Au XVème, Louis de Waucourt, chevalier, prêta hommage au roi Charles VII pour ses terres de Grandcourt.

En 1536, Joachim Dournel, bourgeois de Péronne, devient sieur de Grandcourt.

Cette famille conservera la seigneurie jusqu'à la Révolution.

En 1620, Jean Dournel sera maiëur de Péronne.

Dignité que conservera Robert Dournel en 1650 et 1660.

En 1790, mort de Fursy Dournel qui sera le dernier seigneur du lieu.

Grandcourt

Dournel : d'azur, au chevron d'or accompagné en chef d'un lis de jardin d'argent et d'un gland d'or , et en pointe d'un croissant d'or (ou d'argent) surmonté d'une étoile du même.

Grandcourt

Sépulture de la famille Dournel au cimetière de la Madeleine d'Amiens.

 

Situé sur la ligne de front durant toute la guerre 14-18, le village, évacué de ses habitants, a été complètement détruit par les bombardements aussi bien allemands qu'alliés.

                                                                     *

                                                 Eglise Saint Rémi

Grandcourt

Aquarelle d'O.Macqueron 1877-bibliothèque d'Abbeville.

Grandcourt

en 1909

Grandcourt

Détruite pendant la Première Guerre

Grandcourt

 

Grandcourt

Reconstruite en 1926

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Millencourt

Publié le 9 Octobre 2024 par remus80

La commune ne possède pas de blason officiel.

 

 

Projet de blason proposé par Jacques Dulphy associant les six croisettes recroisetées, au pied fiché, de la famille de Lameth avec une bande d'or chargée de la crosse d'azur et du corbeau de l'abbaye de Corbie.

 

Millencourt

 

 

L'abbaye de Corbie possédait des terres jusqu'à la Révolution.

La seigneurie échut à la famille de Lameth au XVème siècle par le mariage en 1460 d'Antoine de Lameth avec Jacqueline d'Hénencourt, riche héritière du domaine d'Hénencourt et de Millencourt.

Millencourt

de Lameth De gueules à la bande d'argent accompagnée de six croisettes recroisetées au pied fiché de même, posées en orle.

*

Eglise Saint Firmin

Construite au début du XIXe siècle, est dédiée au saint patron du diocèse d'Amiens. Elle a été restaurée grâce aux largesses du marquis de Lameth, propriétaire dans la commune, à la fin du XIXe siècle. 

Millencourt

Aquerelle d'O.Macqueron 1877-bibliothèque d'Abbeville.

 

pendant la Première Guerre mondiale, l'église de Millencourt fut transformée en hôpital militaire britannique

Millencourt

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Aubvillers

Publié le 1 Octobre 2024 par remus80

La commune ne possède pas de blason officiel.

 

 

Projet de blason proposé par Jacques Dulphy reprenant les armes de Jean-Baptiste Roussel avec une coquille Saint-Jacques, allusion au saint patron de l'église.

 

Aubvillers

 

Antoine du Fay en est le seigneur dès la fin du XVème siècle pour moitié avec Antoine de Mailly.

Antoine du Fay épouse en 1558 Jeanne de Mailly.

Puis Gabriel de Béthizy, seigneur du Fretoy, qui revend aux de Biaudos.

Fiacre de Biaudos, comte de Casteja, en est le seigneur au XVIIème, il s'en défait sans doute à la mort de son épouse en 1702.

 Puis Jean-Baptiste Roussel, écuyer, né en 1649, garde des sceaux au Bailliage et siège présidial d'Amiens.

Aubvillers

 Roussel :  de sable à une croix dentelée d'or, cantonée de quatre aigles du même, becquées et couronnnées d'or.

                                                                     *

                                           Eglise Saint Jacques le Majeur

Aubvillers

Ancienne église en 1876

aquarelle d'O.Macqueron-bibliothèque d'Abbeville.

Aubvillers

Détruite lors de la Première Guerre.

Reconstruite en 1821.

Aubvillers

photo : claude Deroletz.

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Marquaix

Publié le 29 Septembre 2024 par remus80

La commune ne possède pas de blason officiel.

 

 

Projet de blason proposé par Jacques Dulphy reprenant en chef les armes du Vermandois, en y associant les armes des familles De Mailly et d'Estourmel.

Marquaix

 

 

 

Marquaix

Carte de Cassini

 

Renaud de Marquais est noté en 1261

Jean de Marquais, prévôt de Péronne, cité à la fin du XIIIème siècle, on le trouve encore en 1319.

On trouve ensuite la famille De Mailly, Guillaume "Saladin" De Mailly né vers 1388, seigneur de Marquais-les-Péronne, veuf de Jeanne de Maisières, épouse en 1420 à Arras Alix de Noyelles.

Leur fils Robert De Mailly, seigneur de Marquaix et Noyelles, épouse en 1396 Marie d'Estourmel.

Marquaix

de Mailly : d'or à trois maillets de sinople.

Il cède la seigneurie en 1491 pour 200 livres à Gilles Creton d'Estourmel, seigneur de Templeux et Guyencourt, il meurt en 1522.

Marquaix

de gueules à la croix dentelée d'argent

Puis son fils Michel II d'Estourmel qui décède en 1605 à Péronne.

Louis d'Estourmel, baron de Surville, dotera en 1611 la chapelle  Notre-Dame de Moyenpont située sur le domaine.

Chapelle Notre-Dame-de-Moyenpont. Elle tiendrait son nom du pont qui lui donne accès, entre les deux bras de la Cologne. La tradition fait remonter sa construction aux croisades, quand un berger découvre une statue de la Vierge sur les lieux.
Le sanctuaire a été détruit pendant la Première Guerre mondiale, en 1917. Il n'a été reconstruit qu'en 1925 grâce au mécénat de la baronne Perthuis de Laillevault. Des fresques y représentent la vie des Poilus.

Marquaix

 

 

*

Eglise Saint Eloi

 

Marquaix

Marquaix

Aquarelle d'O.Macqueron 1874-bibliothèque d'Abbeville.

 

Détruite pendant la Première Guerre mondiale

Reconstruite après-guerre

 

Marquaix

Photo : René Hourdry

 

 

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