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Blasons des communes de la Somme.

Coigneux

Publié le 31 Mars 2024 par remus80

La commune ne possède pas de blason officiel.

 

Projet de blason proposé par Jacques Dulphy avec un rossignol posé sur une branche de tilleul, symbolisant la ferme du Rossignol et le tilleul remarquable, associés à une divise ondée symbolisant la source de l'Authie, et un croissant repris des armes du général Cavrois

 

Coigneux

 Dessin de Daniel Juric.

 

Autrefois importante seigneurie.

En 1223, l'évêque Geoffroy mentionne Gilles de Coignuel comme vavasseur (vassal d'un vassal).

Le hameau de la ferme du Rossignol ( autrefois Lorsignol) où il y avait à l'époque médiévale un château-fort (ferme fortifiée).

Coigneux

Source de l'Authie au lieu-dit Fontaine du Rossignol.

Un tilleul remarquableSelon la tradition orale, il aurait été planté vers 1660 par Henri de La Tour d'Auvergne, vicomte de Turenne et maréchal de France.

 Par la suite, une statuette représentant Notre-Dame de Consolation fut placée dans une niche naturelle de l’arbre. La coutume locale voulait que la population s’y rende en procession. Les cortèges funèbres se dirigeant vers le cimetière s’y arrêtaient sous les chants des membres du clergé.

Le général et baron d'Empire Jean-Baptiste-Alexandre CAVROIS est né en 1774 à la ferme du Rossignol où ses parents étaient fermiers.

Coigneux

 Coupé : au 1, parti a) d'or à trois étoiles d'azur, b) du quartier des barons militaires de l'Empire ; au 2, d'azur, à un croissant d'argent.

                                                                      *

                                                        Eglise Saint-Géry

Coigneux

 

Aquarelle d'O.Macqueron 1876-bibliothèque d'Abbeville.

L'ancienne datait de 1774 , une plaque commémorative du général Cavrois se trouvait à l'intérieur.

En juillet 1916, l'explosion d'un dépôt de munitions souffla l'église et la mairie-école.

Les trois édifices furent rebâtis entre 1928 et 1931.

Coigneux

église actuelle (photo Ybroc)

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Sauvillers-Mongival

Publié le 27 Mars 2024 par remus80

La commune ne possède pas de blason officiel.

 

 

Projet de blason proposé par Jacques Dulphy reprenant une partie des armes de la famille de Court, deux étoiles et le croissant associés à un saule étymologique (lieu planté de saules).

Sauvillers-Mongival

 

 

Mongival rappelle un lieu ruiné par les Impériaux en 1636.

La terre était divisée en deux seigneuries.

L'une d'elle appartenait à Antoine du Fay en 1507, il la vendit 20.000 livres à Gabriel de Béthizy, seigneur du Frétoy.

Il vendit à son tour à la famille Biaudos de Castéjac.

Fiacre de Biaudos la vend au début du 18ème siècle à Joseph de Court de Bonvillers, seigneur de Raineval.

Il est donc probable qu'il s'en défit après la mort de son épouse en 1702 et sans doute avant son départ pour l(île de Ré en 1713.

L'autre seigneurie appartenait au XVIIème siècle à Charles d'Ailly, duc de Chaulnes, il vend ses terres de Raineval, Louvrechy, Sauvillers au marquis de Ruvigny lieutenant-général des armées du roi et député général des églises protestantes, qui se retira en Angleterre après la Révocation de l'Edit de Nantes et dut se défaire de la plupart de ses domaines , il posséda Sauvillers-Mongival de 1684 à 1701. 

 La seigneurie de Sauvillers et Mongival fut acquise en 1701 par Joseph de Court de Bonvillers, seigneur de Raineval, qui la réunit à la châtellenie de Raineval (et non en 1393 comme on le lit sur Wikipédia). 

Sauvillers-Mongival

de Court : d'azur, au croissant d'argent accompagné de trois étoiles de sept rais d'or

 

Le village se trouve à l'arrière, lors de la bataille de la Somme de 1916 et dans la zone des combats de l'offensive de printemps 1918 .

À la fin de la Première Guerre mondiale, le village est considéré comme détruit, seules trois maisons demeurèrent debout.

En juillet 1918, le village est libéré par les forces françaises du 87ème régiment d'infanterie. Il est décoré de la Croix de guerre 1914-1918 le 3 novembre 1920.

*

Eglise Saint Martin

L'ancienne église datait du 19ème siècle

Sauvillers-Mongival

Aquarelle d'O.Macqueron 1876-bibliothèque d'Abbeville.

 

Sauvillers-Mongival

en 1917.

 

Détruite en 1918 et reconstruite entre les deux-guerres.

Sauvillers-Mongival

 

 

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Le Mesge

Publié le 26 Mars 2024 par remus80

Le Mesge

 

 

http://armorialdefrance.fr/

 

 

De gueules à six étoiles d'or, 3, 2 et 1.

*

La commune relève les armes des premiers seigneurs de l'un des ses fiefs. La seigneurie principale était tenue du chapitre de la cathédrale d'Amiens. S'y attachaient deux fiefs: celui de La Mairie et celui de La Prévôté En 1192, Vautier du Mesge est seigneur de "La Mairie du Mesge", et non "maieur du Mesge", comme on a pu l'écrire par confusion.
Sur deux sceaux de 1281 et de 1290 conservés aux Archives de la Somme, apparaît le nom de Hue (ou Hugues) du Mesge, sans doute descendant de Vautier, aussi seigneur du lieu. Ces sceaux portent, pour l'un une étoile à six rais, pour l'autre une molette à six branches; le second est appendu à un acte de rachat de droits en avril 1290 (Demay, Sceaux de Picardie, n° 753).
Le nom apparaît aussi en 1221, quand Robert du Mesge (ou de Mège) épouse Adélaïde de Poix, fille de Gautier V Tyrel, chevalier, sire de Poix, seigneur de plus de vingt lieux en Picardie, capitaine et gouverneur de la ville d'Amiens, et de Ade de Liomer, sa seconde épouse. Robert du Mesge portait: de gueules à six étoiles d'or.
(Jacques Dulphy)

*

Eglise Saint-Fuscien

datée du XVIIème siècle

Le Mesge

Aquarelle d'O.Macqueron 1868-bibliothèque d'Abbeville.

Le Mesge

 

*

Le Mesge

le château. 

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Neuvillette

Publié le 22 Mars 2024 par remus80

La commune ne possède pas de blason officiel.

 

 

Projet de blason proposé par Jacques Dulphy associant les armes de de Boffles, le lion de gueules des de La Houssoye et le dextrochère des Goyer de Sennecourt.

 

Neuvillette 

 

 

 Ce village dépendait de la seigneurie de Beauval.

La seigneurie appartenait au XVIème siècle à la famille de Boffles.

Neuvillette

De sinople à deux bandes d'or.

(gouache Marcel Stiennon, 1974)

Barbe de Boffles la fit passer dans la famille de La Houssoye par son mariage avec Louis de La Houssoye, vicomte de Mézicourt (Maizicourt).

Neuvillette

de La Houssoye : d'argent, coupé d'azur au lion de gueules brochant sur le tout, couronné et lampassé d'or.

 

Leur fils Jean de La Houssoye, vicomte de Maizicourt, seigneur de

Neuvillette et son épouse Marie de Saint-Blimond.

Puis Antoine de La Houssoye qui épouse en 1646 Mrie-Françoise de Boubers.

François de La Houssoye, capitaine de cavalerie, qui épouseFrançoise-Louise Chabot, il décède en 1716.

Louis-François de La Houssoye, né en 1705, il épouse Antoinette-Charlotte d'Urre en 1727.

La seigneurie fut cédée en 1746 à Jean Goyer de Sennecourt, procureur du roi, mayeur de Doullens, il avait épousé en 1742 Marie-Jeanne-Charlotte Langlois de Plémont, c'est lui qui fit remplacer le vieux manoir.

Neuvillette

 

Neuvillette

Il décède en 1774 et son fils aîné Jean-Bonaventure-Gabriel Goyer de Sennecourt lui succède avec son épouse Marie-Gabrielle Langlois.

Il fut maire de la commune, il décède en 1833 dans son château.

Neuvillette

Goyer de Sennecourt : d'azur, au chevron d'or surmonté d'une merlette d'argent, accompagné en pointe d'un dextrochère armé d'argent, la main de gueules tenant une branche de laurier de sinople.

                                                                     *

                                                   Eglise Saint Nicolas

datée du XVIII ème siècle

Neuvillette

Aquarelle d'O.Macqueron 1874-bibliothèque d'Abbeville

 

Neuvillette

de nos jours

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Nurlu

Publié le 18 Mars 2024 par remus80

La commune ne possède pas de blason officiel.

 

 

Projet de blason proposé par Jacques Dulphy associant une crosse et les fleurs de lys de l'abbaye du Mont-Saint-Quentin avec un bâton de prieur, et l'écu de la famille de Wavrin au pied de l'un et l'autre.

 

Nurlu

 

 

 Il y eut des seigneurs du nom de Nurlu aux 12e et 13e siècle, peu remarquables, et dont on a oublié les noms et les armes.
- Enguerrand de Wavrin, sgr de Lillers et de Nurlu, donna la terre de Nurlu à l'abbaye Saint-Sauveur de Ham en Artois. Il avait fondé, vers 1080, à son retour d'un pélerinage à Compostelle, l'abbaye de Ham en Artois. 
- Au début du 16e siècle, l'abbaye de Ham en Artois échangea son prieuré et son domaine de Nurlu avec les religieux du Mont Saint-Quentin, de Péronne.
- Nurlu a surtout appartenu à l'abbaye de Ham en Artois, et à celle du Mont Saint-Quentin, de Péronne.
Les armoiries de la première son inconnues.
Celles du Mont Saint-Quentin étaient : d'azur au buste de saint Quentin d'argent, accompagné de 3 fleurs de lis ; crosse et mitre en ornements extérieurs. 

Nurlu

L'abbaye du Mont Saint-Quentin ne conserva pas longtemps la seigneurie Elle vendit le tout avec l'autorisation du pape et du roi, et le prieuré disparut.
En 1577, la sgrie passe à Gérard d'Assignies, qui vend ensuite au seigneur de Manancourt, Paul de Folleville.
En 1654, ce dernier "restitue irrévocablement" le domaine de Nurlu à l' abbaye du Mont Saint-Quentin de Péronne.

de Folleville : d'or à dix losanges de gueules, accolés et aboutés 3,3,3 et 1Nurlu

                                     *                                 

                            Eglise Notre-Dame de la Nativité

 

Nurlu

Aquarelle d'O.Macqueron 1876-bibliothèque d'Abbeville.

Nurlu

Avant 1914.

 

Nurlu

Détruite lors de la Première Guerre.

Nurlu

Reconstruite après-guerre par l'architecte Louis Faille, natif du village.

 

 

 

 

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Ugny-L'Equipée

Publié le 18 Mars 2024 par remus80

La commune ne possède pas de blason officiel.

 

 

Projet de blason proposé par Jacques Dulphy avec les armes des de Rouvroy Saint-Simon en chef, un chaussé-haussé de gueules figurant le manteau de Saint-Martin avec son épée, patron de l'église, et une aiglette empruntée aux de Montmorency.

Ugny-L'Equipée

 

Autrefois Ugny-Lès-Quippée

Ugny-L'Equipée

Carte de Cassini 1750

La seigneurie appartenait à la famille de Rouvroy Saint-Simon.

Ugny-L'Equipée

Rouvroy-Saint-Simon : écartelé : en 1 et 4, de sable à la croix d'argent chargée de cinq coquilles de gueules; en 2 et 3, échiqueté d'or et d'azur chargé de trois fleurs de lis d'or, au chef d'azur.

Puis à celle de Laval-Montmorency.

Ugny-L'Equipée

d'or à la croix de gueules chargé de cinq coquilles d'argent et cantonnée de seize alérions d'azur

*

Eglise Saint-Martin

Ugny-L'Equipée

Aquarelle d'O.Macqueron 1875-bibliothèque d'Abbeville.

Détruite lors de la Première Guerre

Reconstruite entre les deux guerres.

Ugny-L'Equipée

 

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Ginchy

Publié le 16 Mars 2024 par remus80

Ginchy

 

https://armorialdefrance.fr/ 

Coupé: au 1er de gueules à deux clés d'argent passées en sautoir surmontées de la lettre capitale G du même, au 2e d'azur au Phénix d'or dans son immortalité de gueules.

Création Jean-François Binon.

Blason confirmé par la mairie.
Adopté début 2023.

*

Le territoire de la commune de Ginchy était compris dans l'ancienne forêt d'Arrouaise. 

Ce fut un fief des châtelains de Péronne qui l'aliénèrent à l'abbaye d'Arrouaise, à l'abbaye du Mont Saint-Quentin et au prieuré de Lihons-en-Santerre. 

*

Eglise Saint Pierre

L'ancienne fut reconstruite en 1770.

Ginchy

Détruite lors de la Première Guerre.

Reconstruite entre les deux guerres

Ginchy

photo : Deroletz.

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Mesnil-Saint-Nicaise

Publié le 13 Mars 2024 par remus80

La commune ne possède pas de blason officiel.

 

 

Projet de blason proposé par Jacques Dulphy reprenant les deux bars d'or, adossés en pal de la châtellenie de Nesle et une crosse d'évêque symbolisant Saint Nicaise.

Mesnil-Saint-Nicaise

 

La commune appartenait à la châtellenie de Nesle.

Mesnil-Saint-Nicaise

de gueules semé de trèfles d'or à deux bars adossés du même, brochants sur le tout

*

Eglise Saint Nicaise

Mesnil-Saint-Nicaise

Aquarelle d'O.Macqueron 1877-bibliothèque d'Abbeville.

La chapelle primitive du village, dédiée à Saint-Nicaise, datait du XIIIe siècle. Agrandie à trois différentes époques, elle fut détruite pendant la première guerre mondiale et reconstruite en 1930. Elle abrite une statue de l'époque médiévale, sauvée de la destruction et rénovée. L'angélus a de son côté été restauré en 2005.
(Source : Panneau historique de la Communauté des communes du Pays Neslois.)

Mesnil-Saint-Nicaise

Avant guerre

Mesnil-Saint-Nicaise

 

 

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Maurepas

Publié le 12 Mars 2024 par remus80

La commune ne possède pas de blason officiel.

 

 

Projet de blason proposé par Jacques Dulphy associant le chevron de gueules des de Baynast avec le créquier des Créquy.

Maurepas

 

 

 

Le domaine de Cléry (dit au XVe siècle Cléry-Créqui) comprenait Maurepas.

Maurepas

Cléry : d'argent à la fasce d'azur.

 

Il appartenait alors à la maison de Créqui, entrée en possession en 1425. Cette vaste seigneurie (Cléry unie à d'autres fiefs), fut érigée en comté sous le nom de Cléry-Créqui par lettres patentes de Louis XIII en 1623 en faveur de Charles de Créqui, "seigneur de Bernieules, de Maurepas et autres lieux".

Maurepas

A la mort d'Alexandre de Créqui, mort en 1702 sans postérité, le domaine entier. passa à Gabriel-René de Mailloc, fils de sa soeur Renée.

Maurepas

de Mailloc : de gueules à trois maillets d'or.

 

 

Leforest

Hameau rattaché à la commune en 1960.

Le domaine appartenait en grande partie à la Couronne avant le XVIème siècle et de ce fait possédé par des suzerains étrangers.

Au XVIème siècle, après 1536, le roi François 1er le donna à Jean de Baynast, seigneur d'Herleville, pour sa valeur au siège de Péronne, famille originaire du hameau de Bainast dans le Vimeu.

Maurepas

de Baynast : d'or, au chevron abaissé de gueules, surmonté de trois fasces du même.

 

La seigneurie resta dans cette famille jusqu'au XVIIIème siècle.

En 1679, donation est faite par Eléonore Le Prévost, veuve de Charles de Baynast, à Louis de Baynast, leur fils, de tous les droits sur la dite seigneurie de Forest.

Ce Louis de Baynast, officier au régiment de Montpezat, est le dernier du nom à être seigneur du lieu. 

 

Wikipedia attribue la seigneurie de Leforest au XVIIIe siècle à ... un certain M. Bénart ! sûrement une altération de Bainast !

                                         *

                               Eglise Saint martin

Maurepas

 

 

                                aquarelle d'O.Macqueron en 1874-bibliothèque d'Abbeville.

L'ancienne église a été détruite lors de la Première Guerre mondiale.

Maurepas

Reconstruite après 1918.

Maurepas

 

Elle est fermée depuis 1987, risque d'effondrement. 

 

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Pargny

Publié le 6 Mars 2024 par remus80

Pargny

 

http://armorialdefrance.fr/

  

D'azur à la barre d'argent chargée de trois canettes nageant de sable, becquées d'or et posées à plomb, accompagnée en chef d'une fleur de lis d'or et en pointe d'une tour du même.

 

Pargny et ses hameaux appartenaient à la puissante abbaye Notre-Dame de Soissons, mais il y eut aussi des seigneurs feudataires du nom de De Pargny, dont Jacques de Pargny en 1229, dont on a oublié le blason, et dont une partie du château-fort existait encore près de l'église en 1589, pour une tour au moins. Il en subsista longtemps une plaque de cheminée portant trois fleurs de lis et la date de 1574, conservée dans la cuisine d'une ferme bâtie à l'emplacement du fort.
"C'est là qu'habitait le receveur chargé d'administrer les biens de l'abbaye de Soissons" écrit à son sujet Paul Decagny (L'Arrondissement de Péronne, 1844).
Pargny possédait, aux temps féodaux, une maladrerie qui était placée sous le patronage de la même abbaye, mais aussi des seigneurs de Falvy et de Béthencourt-sur-Somme.
Au XIVe siècle, Pierre de Béthencourt (qui portait "D'or à douze merlettes de gueules ordonnées en orle, accompagnées d'un lambel d'azur", reprises aujourd'hui par la commune de Béthencourt-sur-Somme, 80) dota l'église d'Epenancourt, village voisin, de sept muids de blé l'année.
Une tour de château-fort, des fleurs de lis, c'en était assez, sans doute, pour inspirer à date récente le blason de Pargny, qui figure aujourd'hui sur toutes les plaques de rues. La barre figure sans doute la rivière de Somme, qui longe le village à l'est avec son marais; quant aux canettes, elles trouvent sans doute leur origine dans la faune sauvage locale, à moins qu'elles ne soient issues des merlettes du bon sire de Béthencourt. Personne n'a pu nous le préciser au village.
(Jacques Dulphy)

*

Eglise Saint-Sulpice

 

La première église en bois de Pargny datait du 13e siècle.

Pargny

aquarelle d'O.Macqueron 1877-bibliothèque d'Abbeville.

 

 

Brûlée par les Allemands en février 1917, reconstruite en 1932, puis bombardée en mai 1940, ce n’est qu’en 1960 que l’Eglise actuelle fut érigée, après la mise en place d’une église provisoire sur la place du village.
Détenteur de la croix de guerre, le village rend hommage chaque année à Saint Sulpice, son saint patron. A l’intérieur, on peut admirer une pompe à incendie du 19e siècle, en cuivre et bois, sauvée de justesse chez un ferrailleur et remise à neuf au début des années 2000.
A l’extérieur de l’église subsistent les fonts baptismaux d’origine, miraculeusement conservés.

PargnyPargny

Pargny

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