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Blasons des communes de la Somme.

Caulières

Publié le 28 Mars 2019 par remus80

                     

                                                           

Caulières

http://armorialdefrance.fr/

D'argent à la bande de sable accompagnée de six merlettes du même ordonnées en orle.

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Caulières

Gouache de Marcel Stiennon (merci à J.Dulphy)

Caulières

De Caulières : d'argent à la bande de sable accompagnée de six merlettes du même, posées en orle.

La seigneurie a appartenu à la famille de Caulières jusqu'à Charlotte de Caulières, mariée en 1580 avec Christophe de Riencourt, puis en 1598 avec Moïse des Forges, seigneur de Châteaufort.

La famille Des Forges de Caulières l'a conservée jusqu'à la Révolution.

Caulières

Gouache de Marcel Stiennon (merci J.Dulphy)

Des Forges de Caulières : de gueules à sept cotices d'argent

 

Caulières

Acquarelle d'O.Macqueron, bibliothèque Municipale d'Abbeville.

 

Une autre partie de la seigneurie appartenait, au 16ème siècle à la famille de Bigant, dont les armoiries très abîmées figurent au-dessus de la porte voûtée en plein cintre de l'église.Elles sont accompagnées à droite de celles de Jeanne de Wattebled, épouse de Regnault de Bigant.

Le blason des Wattebled était composé d'une fasce accompagnée de deux aigles éployés, un en chef et un en pointe.

Caulières

 

On distingue encore les aigles sur la moitié droite .

Caulières

dessin de Jacques Dulphy

Caulières

Caulières

De Bigant de Caulières : d'azur à la fasce d'or, chargée de trois coquilles de sable, accompagnée de trois besants d'or.

La résidence seigneuriale de la famille Des Forges se trouvait contre l'église.

Elle apparaît encore sur le plan cadastral de 1835, mais n'existait déja plus à la fin du 19ème.

 

 

Caulières

 

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Eglise Sainte-Marie-Madeleine et Saint Saturnin

Choeur en pierre du XVIème siècle

La nef plus basse fut reconstruite en1766 en brique avec insertion de silex.

Caulières

 

Merci à Jean-Noël Marchiset

 

 

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Vercourt

Publié le 16 Mars 2019 par remus80

Vercourt

 http://armorialdefrance.fr/

 

D'argent à la croix ancrée de sable; chapé d'azur chargé de deux étoiles d'argent; le tout sommé d'un chef d'or chargé de deux pals de sable accompagnés de trois merlettes de gueules.

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Ce blason a été conçu par Jacques Dulphy à la demande du Conseil Municipal, et adopté le 21 décembre 2018, suivant le dessin qu'en a réalisé Daniel Juric.
Il associe les armes de deux familles qui ont marqué l'histoire du village: les De Gourlay et les Lefebvre du Grosriez.
Les De Gourlay (ou De Gourlé) furent seigneurs du domaine dit "du château" durant tout le XVIe siècle ; ils portaient: d'argent à la croix ancrée de sable.

Vercourt

Blason de la famille De Gourlay.
Armorial des contrées et villes de Picardie; planches de collages d'aquarelles, 1842, détail.
Collection Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville.
(Aimablement transmis par Jacques Dulphy)


Les Lefebvre du Grosriez en furent seigneurs de 1742 à la Révolution. De plus, cette famille donna un maire à Vercourt: François-Charles-Henri Lefebvre du Grosriez, écuyer, né à Abbeville en 1801, maire de Vercourt puis de Forestmontier. Cette famille portait: d'azur à la fasce d'argent accompagnée de trois étoiles du même, au chef d'or chargé de deux pals de sable accompagnés de trois merlettes de gueules.
(Jacques Dulphy)

Vercourt

Vercourt

 

château du 19ème siècle

Vercourt

Photo : Jean-noël Marchiset

 

Eglise Saint Saturnin

 

Vercourt

 

aquarelle d'O.Macqueron 1852-bibliothèque d'Abbeville

 

Vercourt

 

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Gueschart

Publié le 10 Mars 2019 par remus80

Gueschart

http://armorialdefrance.fr/ 

 

D'argent à trois chevrons de gueules.

 

Le blason de la commune de Gueschart est directement copié de celui de la famille De Gueschard (avec un D), qui tint la seigneurie de Gueschart du 13 e siècle (avec le chevalier Jehan de Gueschard) au 15e siècle, avant de la transmettre à une branche des Montmorency.

D'après Belleval (Nobiliaire du Ponthieu, 1862, tome 1), ce nom, dont l'orthographe varie, est très ancien en Ponthieu. On trouve le nom de Bernard de Guessard, 41e abbé de Saint-Riquier nommé en 1248, Baudouin de Gaissard 46e abbé de 1312 à 1333, etc.. Le dernier du nom, Jacques-Léonard de Gueschard, chevalier, seigneur d'Escles et de Brétencourt, célibataire, vendit son domaine d'Escles en 1751.
(Jacques Dulphy)

***

Gueschart

Montmorency-Bours : D'or à la croix de gueules cantonnée de seize alérions d'azur ordonnés 2 et 2, et chargée d'un croissant d'argent.

 

Nicolas de Montmorency épousa en 1512 Anne Rouault de Gamaches, il était seigneur de Bours et de Gueschart.

Son fils Gabriel hérita de ses biens, vinrent ensuite Jean puis Josias de Montmorency-Bours qui épousa Marie de Grouches en 1579, il meurt en 1616.

Ses fils moururent sans postérité et les domaines revinrent à leur cousin Daniel de Montmorency, marquis d'Esquancourt, Général des armées du Roi.

Benjamin-Alexandre de Montmorency, général comme son père, mourut en 1702 sans postérité de son mariage avec Madeleine de Laval.

Héritière de ses biens, sa cousine Marthe, épousa en 1707 Guillaume du Bois de Belhostel et, en 1789 la terre appartenait à la comtesse de Crécy, née Anne-Alexandrine du Bois de Belhostel.

Gueschart

Du Bois de Belhostel : d'or à l'aigle de sable.

Ancien lieutenant-général, admis aux honneurs de la Cour, Ferdinand comte de Crécy fut élu député de la noblesse du Ponthieu en mars 1789, il commanda en juillet la Garde nationale d'Abbeville.

Il n'émigra pas et passa 11 mois dans les cachots de la citadelle de Doullens pendant la Terreur, puis siégea aux Cinq-Cents en 1795 et évitera la déportation grâce à Tallien.

Mis en vente en 1805, le domaine fut acquis par Charles et Norbert Froissart qui firent moderniser le château, cette famille s'y succédera jusqu'en 1916.

Gueschart

Délaissé le château était en fort mauvais état lorsqu'il entra par alliance dans la famille Lefebvre.

Mis en vente peu après, il a été sauvé de la ruine par M. et Mme Jean-Claude Riedel qui y ont créé de vastes volumes d'exposition.

Le château fut élevé dans la première moitié du 17ème siècle, tout au moins après l'année 1636 qui vit le saccage complet du village.

***

Eglise Saint Fursy

16ème siècle

Gueschart

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Estrées-Les-Crécy

Publié le 7 Mars 2019 par remus80

Estrées-Les-Crécy

http://armorialdefrance.fr/ 

 

D'or à trois merlettes de sable.

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Le blason communal d'Estrées-lès-Crécy, d'or à trois merlettes de sable, apparaît pour la première fois sur le monument érigé à la mémoire de Jean de Luxembourg, roi de Bohême (tué en 1346 dans la plaine d'Estrées au soir de la bataille de Crécy), socle de pierre grise érigé en 1902 à l'initiative de plusieurs sociétés savantes, et qui supporte une croix de tuf plus ancienne dite «croix de Bohême». 

Estrées-Les-Crécy

Photo : Somme-photos

Estrées-Les-Crécy


Mais pour autant, ce blason d'Estrées-lès-Crécy ne fut pas vraiment réutilisé par la commune avant les années 1990; il figure alors, depuis, sur les enveloppes de mairie. Une troupe de théâtre locale, toujours existante, a pris à la même époque le nom de "les Merlettes".
Le choix de ce blason par les sociétés savantes du début du XXe siècle reste inexpliqué. Le village d'Estrées (en Ponthieu) n'eut jamais de seigneurs du même nom, et aucune des familles ayant possédé la seigneurie d'Estrées n'eut de merlettes en son blason. 
Mais les trois merlettes de sable font penser au blason de la famille d'Estrées, originaire du village d'Estrée, en Artois (aujourd'hui Estrée-Cauchy, 62).Raoul d'Estrées, qui combattit à Bouvines (1214), portait d'or à trois merlettes de sable.

Estrées-Les-Crécy

Estrées-Cauchy : d'argent fretté de douze pièces de sable, au chef soudé d'or chargé de trois merlettes aussi de sable.


Il y a eu, de toute évidence, confusion entre Estrée-Cauchy (62) et Estrées-lès-Crécy (80), distants de 65 km. Mais le blason d'Estrées-lès-Crécy, né de cette confusion, est désormais, et depuis longtemps, acquis et reconnu. Les Estréens ne voudraient en changer pour rien au monde!
A l'époque de l'adoption de ce blason (vers 1900), l'abbé Joseph Armand, curé d'Estrées-lès-Crécy, était membre honoraire du Conseil Héraldique de France.
(Jacques Dulphy)

Estrées-Les-Crécy

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  • En 1251, le seigneur du lieu est Bernard d'Amiens
  • Selon la tradition, l'église n'est que la chapelle d'un château disparu depuis très longtemps.
  • Une partie de la bataille de Crécy, le 26 août 1346, s'est déroulée dans le vallon autrefois appelé Bulincamps et désigné depuis par « la vallée des Clercs ».
  • En 1625, des soldats autrichiens ravagent le village. Les habitants s'illustrent dans les combats. Une nouvelle attaque, en août de la même année, conduit à l'incendie de toutes les maisons.

 

  • Pendant la guerre de 1870-1871, la localité subit l'occupation allemande. Une contribution de guerre est imposée.        
  • Croix de Bohême, rappelant la bataille de Crécy, dressée en pleine campagne, sur le territoire de la commune d'Estrées-lès-Crécy, au bord la route de Fontaine-sur-Maye, sur les lieux supposés de la mort du roi de Bohême Jean Ier, cette croix, très ancienne et usée par l'érosion daterait du xive siècle. C'est le plus ancien monument commémoratif connu de la bataille de Crécy. Le monument fut légèrement déplacé et son socle rénové en 1902.

                                                                   ***

                                   Eglise Notre-Dame de l'Assomption

Estrées-Les-Crécy

C'est à l'origine une chapelle de hameau, dédiée à saint Nicolas, qui est construite en 1251, alors que le seigneur du lieu est Bernard d'Amiens.

L'église actuelle Notre-Dame-de-l'Assomption d'Estrées-lès-Crécy a été construite au xvie siècle, en 1547, sur les bases de la chapelle, alors que l'abbaye de Forest-Montiers perçoit la dîme.

Un siècle plus tard, en 1647, on ajoute deux chapelles latérales.

La paroisse d'Estrées est créée en 1749.

Des travaux de réhabilitation sont entrepris au xviiie siècle et au début du xixe siècle. En 1838, on complète l'édifice avec des latéraux en brique. En 1848, le clocher-mur d'origine est remplacé par une tour plus classique.

 

Le chœur et le transept sont protégés au titre des monuments historiques : inscription par arrêté du 19 février 1926. L'église a fait l'objet de travaux de restauration en 2015-2017.

Le chœur et le transept de l'église, construits en pierre, sont plus élevés que la nef. Ils sont de style gothique flamboyant. La nef et le clocher sont construits en brique et pierre. Les voûtes du choeur et du transept sont en pierre et ornées de clefs pendantes figurées et historiées (sainte Véronique, Christ en Majesté, agneau pascal) ; la nef est voûtée de bois

Estrées-Les-Crécy

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Brie

Publié le 6 Mars 2019 par remus80

Brie

http://armorialdefrance.fr/  

 

 D'azur au chevron d'or accompagné de trois demi-vols d'argent, ceux du chef adossés.

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Création Jacques Dulphy.
Adopté en mai 2012.

Brie

Armes de la famille Eudel de Brie.
Armorial Général de France, Charles D'Hozier (édit de 1696)



La commune de Brie a relevé les armes de la famille Eudel, dite Eudel du Gord, qui donna de nombreux seigneurs à Brie.

Parmi ceux-ci, Louis Eudel -dit-on- obtint d'Henri IV ses armoiries, avec chevron d'or, en récompense d'une action d'éclat à la reprise d'Amiens en 1597.
Son fils Antoine se fixa à Corbie où il épousa la fille de Pierre de Vaulx, bailli de la ville.

En 1685, Claude Eudel était bailli général du comté de Corbie.

Dans le cours du même siècle, une branche des Eudel vint s'établir à Péronne et l'un de ses membres, dont les descendants existaient encore au XIXe sièce, avait fait l'acquisition du fief seigneurial du Gord (à Brie), et en conserva le nom d'Eudel du Gord.
(D'après l'abbé Decagny, Histoire de l'arrondissement de Péronne, 1859). Il s'agit bien sûr d'armes parlantes (Eu-d'aile).
La devise familiale était: "In procellis impavidae" (Intrépide dans les tempêtes).
(Jacques Dulphy)

Brie

Armes de la famille Eudel.
Gouache de Marcel Stiennon, vers 1976.
(Aimablement transmis par Jacques Dulphy)

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En 1344 un certain Jean de Brie fut maïeur de Péronne

En 1571, la seigneurie de Brie appartenait au duc de Chaulnes.

En 1636, le village de Brie fut incendié par un détachement des armées du roi d'Espagne commandées par Jean de Werth. Cependant, les habitants révoltés s'armèrent de fourches et de faux et se ruèrent sur les ennemis, les empêchant de passer la Somme et les contraignant à se replier sur Saint-Christ. Trente-quatre habitants de Brie périrent dans cette échauffourée.

Sur une carte de Guillaume Delisle, datant du xviiie siècle, figure un fort défendant l'entrée ouest du pont.

Brie dépendait de l'élection et du bailliage de Péronne, de la généralité d'Amiens et du diocèse de Noyon.

À la Révolution française, les hameaux de Pont-lès-Brie et d'Applaincourt furent rattachés à la commune de Villers-Carbonnel.

En 1814-1815, les armées coalisées ravagèrent le pays.

En 1870-1871, la population de Brie subit les réquisitions de l'armée allemande, en argent et en nature. 24 jeunes gens de la commune participèrent aux combats, deux furent blessés.

Pendant la Première Guerre mondiale, le village de Brie fut totalement détruit.

                                                                 *

                                                   Eglise Saint-Géry

Totalement détruite pendant la Première Guerre mondiale

Brie

 

 

 

Reconstruite tout en béton entre 1920 et 1930

Brie

 

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Chepy

Publié le 4 Mars 2019 par remus80

Chepy

 http://armorialdefrance.fr/

 

D'or à trois fasces de gueules.

Devise: « libertas omnium in uno commune ».

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La commune relève, telles, les armes de la famille De Grouches.

Chepy

 

Les De Grouches, qui devinrent plus tard De Grouches de Chepy, devinrent seigneurs de Chepy par le mariage en 1586 d'Anne de la Rivière, seule héritière du dernier seigneur du nom, avec Robert de Grouches, bailli du Valois, chambellan et gentilhomme ordinaire du roi, chevalier de l'ordre du roi, gouverneur de Pont-Rémy, mort en 1625.

Son arrière-arrière-arrière-petit-fils, Antoine de Grouches, marquis de Chepy, était seigneur du lieu depuis 1751 quand vint la Révolution. Il mourut en 1834 ne laissant qu'une fille.
Le premier De Grouches connu est Thierry de Grouches, chevalier, seigneur de Grouches en 1290. Le blason familial avait pour cimier une demi femme échevelée au naturel, et pour tenants deux sauvages.

La commune actuelle de Grouches-Luchuel (80), près de Doullens, d'où la famille est originaire, a repris le même blason, mais porte les fasces vivrées.
(Jacques Dulphy)

Chepy

Massif armorié devant la mairie ( photo J.Dulphy, juin 2016).

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 Chépy avait son château, son seigneur et son domaine seigneurial. Nous avons également trace de nombreux fiefs au sein même du village : fiefs Grison, des Rimeux, de Monchaux, et le plus important fief d'Émonville. Ces fiefs étaient des terres tenues en propriété et quelquefois par un seigneur comme celui d'Émonville, avec la particularité de faire redevance, soit à un autre seigneur de plus haute distinction, soit au roi lui-même. La seigneurie de Chépy était baronnie en 1526 et fut érigée au marquisat en 1748 par Nicolas Antoine de Grouches, seigneur, chevalier, maréchal de camp et Grand-Croix de Saint-Louis. 

***

Château Dufour  qui est maintenant la mairie

Chepy

 

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Eglise St Pierre

Chepy

L'église Saint-Pierre, en brique et à ouvertures romanes, contient une œuvre de Gustave Riquet : La Vocation de Saint-Pierre. Une chapelle existait déjà, et existe une trace d'une visite par l’évêché d'Amiens au xve siècle. C'est à partir de cette chapelle que l'église fût construite au début du xvie siècle. Une note nous est laissée où il apparaît qu'un compromis fut passé, en 1501, entre un maçon de Chépy et les habitants du dit lieu, stipulant la pose de 120 000 briques sur des travaux déjà commencés. On y constate aussi que les habitants ont eux-mêmes participé à la fabrication des briques pour les vendre au profit de l'église. La tradition orale voulait que ces briques fussent faites près de l'église, et que le maçon bâtisseur s'appelât François Hermel

 

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Offignies

Publié le 2 Mars 2019 par remus80

Offignies

 

http://armorialdefrance.fr/liste_dept.php?dept=80

D'argent au sautoir de gueules.

 

La commune relève les armes de la famille D'Offignies, qui fut seigneur du lieu de 1208 (au moins) à la seconde moitié du XVIe siècle.
Vers 1559, Jossine d'Offignies, veuve et sans enfants après deux ou trois mariages, laissa la seigneurie à sa nièce Jeanne d'Espiez, qui épousa  Charles du Quennel en 1593, puis la seigneurie passa en d'autres noms.

Parmi les premiers du nom connus avec certitude, on note Watier (ou Gautier) d'Offignies, seigneur d'Offignies, qui eut parmi ses descendants Jean d'Offignies, dit "Gadifer", mort après 1374, vicomte d'Aumale.
Jean eut pour enfants Perceval d'Offignies, seigneur de Boulainvillers, et Jean d'Offignies, marié avant 1397 avec Béatrix de Chastillion, fille de Gaucher de Chastillion, seigneur de Dour en Flandre (aujourd'hui, Belgique), de la Ferté-lès-Saint-Riquier et d'Eaucourt; il restaura le château d'Eaucourt, et le blason des D'Offignies figure aujourd'hui sur le deuxième parti du blason communal d'Eaucourt-sur-Somme .

Offignies


Les D'Offignies portaient: d'argent au sautoir de gueules. Ce blason est représenté notamment dans l'ouvrage de Casimir de Sars de Solmon, Recueil de généalogies, etc. début du XIXe siècle, bibliothèque de Valenciennes.
(Jacques Dulphy)

Offignies

 

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