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Blasons des communes de la Somme.

Maurepas

Publié le 12 Mars 2024 par remus80

La commune ne possède pas de blason officiel.

 

 

Projet de blason proposé par Jacques Dulphy associant le chevron de gueules des de Baynast avec le créquier des Créquy.

Maurepas

 

 

 

Le domaine de Cléry (dit au XVe siècle Cléry-Créqui) comprenait Maurepas.

Maurepas

Cléry : d'argent à la fasce d'azur.

 

Il appartenait alors à la maison de Créqui, entrée en possession en 1425. Cette vaste seigneurie (Cléry unie à d'autres fiefs), fut érigée en comté sous le nom de Cléry-Créqui par lettres patentes de Louis XIII en 1623 en faveur de Charles de Créqui, "seigneur de Bernieules, de Maurepas et autres lieux".

Maurepas

A la mort d'Alexandre de Créqui, mort en 1702 sans postérité, le domaine entier. passa à Gabriel-René de Mailloc, fils de sa soeur Renée.

Maurepas

de Mailloc : de gueules à trois maillets d'or.

 

 

Leforest

Hameau rattaché à la commune en 1960.

Le domaine appartenait en grande partie à la Couronne avant le XVIème siècle et de ce fait possédé par des suzerains étrangers.

Au XVIème siècle, après 1536, le roi François 1er le donna à Jean de Baynast, seigneur d'Herleville, pour sa valeur au siège de Péronne, famille originaire du hameau de Bainast dans le Vimeu.

Maurepas

de Baynast : d'or, au chevron abaissé de gueules, surmonté de trois fasces du même.

 

La seigneurie resta dans cette famille jusqu'au XVIIIème siècle.

En 1679, donation est faite par Eléonore Le Prévost, veuve de Charles de Baynast, à Louis de Baynast, leur fils, de tous les droits sur la dite seigneurie de Forest.

Ce Louis de Baynast, officier au régiment de Montpezat, est le dernier du nom à être seigneur du lieu. 

 

Wikipedia attribue la seigneurie de Leforest au XVIIIe siècle à ... un certain M. Bénart ! sûrement une altération de Bainast !

                                         *

                               Eglise Saint martin

Maurepas

 

 

                                aquarelle d'O.Macqueron en 1874-bibliothèque d'Abbeville.

L'ancienne église a été détruite lors de la Première Guerre mondiale.

Maurepas

Reconstruite après 1918.

Maurepas

 

Elle est fermée depuis 1987, risque d'effondrement. 

 

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Pargny

Publié le 6 Mars 2024 par remus80

Pargny

 

http://armorialdefrance.fr/

  

D'azur à la barre d'argent chargée de trois canettes nageant de sable, becquées d'or et posées à plomb, accompagnée en chef d'une fleur de lis d'or et en pointe d'une tour du même.

 

Pargny et ses hameaux appartenaient à la puissante abbaye Notre-Dame de Soissons, mais il y eut aussi des seigneurs feudataires du nom de De Pargny, dont Jacques de Pargny en 1229, dont on a oublié le blason, et dont une partie du château-fort existait encore près de l'église en 1589, pour une tour au moins. Il en subsista longtemps une plaque de cheminée portant trois fleurs de lis et la date de 1574, conservée dans la cuisine d'une ferme bâtie à l'emplacement du fort.
"C'est là qu'habitait le receveur chargé d'administrer les biens de l'abbaye de Soissons" écrit à son sujet Paul Decagny (L'Arrondissement de Péronne, 1844).
Pargny possédait, aux temps féodaux, une maladrerie qui était placée sous le patronage de la même abbaye, mais aussi des seigneurs de Falvy et de Béthencourt-sur-Somme.
Au XIVe siècle, Pierre de Béthencourt (qui portait "D'or à douze merlettes de gueules ordonnées en orle, accompagnées d'un lambel d'azur", reprises aujourd'hui par la commune de Béthencourt-sur-Somme, 80) dota l'église d'Epenancourt, village voisin, de sept muids de blé l'année.
Une tour de château-fort, des fleurs de lis, c'en était assez, sans doute, pour inspirer à date récente le blason de Pargny, qui figure aujourd'hui sur toutes les plaques de rues. La barre figure sans doute la rivière de Somme, qui longe le village à l'est avec son marais; quant aux canettes, elles trouvent sans doute leur origine dans la faune sauvage locale, à moins qu'elles ne soient issues des merlettes du bon sire de Béthencourt. Personne n'a pu nous le préciser au village.
(Jacques Dulphy)

*

Eglise Saint-Sulpice

 

La première église en bois de Pargny datait du 13e siècle.

Pargny

aquarelle d'O.Macqueron 1877-bibliothèque d'Abbeville.

 

 

Brûlée par les Allemands en février 1917, reconstruite en 1932, puis bombardée en mai 1940, ce n’est qu’en 1960 que l’Eglise actuelle fut érigée, après la mise en place d’une église provisoire sur la place du village.
Détenteur de la croix de guerre, le village rend hommage chaque année à Saint Sulpice, son saint patron. A l’intérieur, on peut admirer une pompe à incendie du 19e siècle, en cuivre et bois, sauvée de justesse chez un ferrailleur et remise à neuf au début des années 2000.
A l’extérieur de l’église subsistent les fonts baptismaux d’origine, miraculeusement conservés.

PargnyPargny

Pargny

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Morchain

Publié le 5 Mars 2024 par remus80

La commune ne possède pas de blason officiel.

 

 

Projet de blason proposé par Jacques Dulphy associant la crosse de l'abbaye de Soissons et une bordure crénelée évoquant l'étymologie la plus probable du lieu (selon René Debrie), à savoir Muro cinctus (endroit fortifié par une enceinte de murs).

 

Morchain

 

 

 

Murocinctus, l'une des plus anciennes désignations, énonce un endroit fortifié par une enceinte de murs, qui devint ensuite la forteresse féodale des seigneurs.

 

En 1237, Simon de Vermandois, évêque de Noyon, accorda à l'abbaye Sainte-Marie de Soissons l'autel de Morchain et lui confirma la seigneurie du lieu.

En 1378, Jacques de Morchain, écuyer et prévôt de St Quentin, est dit seigneur d'un fief.

 

Goussencourt

était situé à l'est de Morchain.

Relevait également de Sainte-Marie de Soissons, parait avoir eu assez d'importance autrefois.

La famille de Goussencourt parait au début du XIIIème siècle, elle s'est répandue en divers lieux de la province.

Morchain

de Goussencourt : d'hermines, au chef de gueules.

Dans un aveu de 1215, Ressaus de Goussencourt reconnait tenir du roi la terre de Morchain.

En 1221 Pierre de Goussencourt vend la mairie à l'abbesse de Soissons.

En 1294, on trouve Jean de Goussencourt et Agnès de Goussencourt en 1305.

Puis la seigneurie passe à la famille de Waurin.

En 1431, passe à Gérard d'Athies dit du Fay, marié à Jeanne de Soissons, qui dans un aveu de 1466 reconnait tenir une motte entourée de fossés où se trouvait le vieil chasteau de Goussencourt.

Au XVIème siècle, le manoir féodal fut remplacé par un château bâti en briques, offrant peu d'intérêt architectonique.

Au XVIIème siècle, on trouve François d'Hestrus en 1671.

L'ancien manoir a été démoli en 1854 et les caves comblées par M. O.Dersu, de Noyon, qui en était propriétaire.

                                                                     *

                                               Eglise Saint-Pierre

Morchain 

Aquarelle d'O.Macqueron 1883-bibliothèque d'Abbeville.

L'ancienne église était du XVIème siècle, la nef fut reconstruite vers 1860.

Détruite lors de la Première Guerre.

Morchain

Morchain

reconstruite après guerre.

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Tertry

Publié le 29 Février 2024 par remus80

La commune ne possède pas de blason officiel.

 

 

Projet de blason proposé par Jacques Dulphy, associant une francisque couronnée, symbolisant la bataille de 687, et les trois soucis des armes de la famille de Herte, seigneurs du lieu au XVIIème siècle.

 

Tertry

 

 

Emplacement supposé de la bataille de Tertry (687), victoire de Pépin d'Herstal, duc des Austrasiens, sur Thierry III, roi de Neustrie (lutte entre le clans francs). Pépin devient maître du royaume franc. C'était le père de Charles Martel , qui donna naissance à la dynastie des carolingiens.

 

Au 12ème siècle, un décompte de la châtellenie de Péronne de 1214 indique que le domaine de Tertry appartient à Gilles de Marquaix.

Par un traité de 1302, l'abbé Regnault cède de nombreux droits à Hugues de Parando, visiteur général de l'Ordre du Temple qui y possédait déja des biens.

A la disparition de l'Ordre en 1311, ces biens passent aux frères de Saint-Jean d'Eterpigny.

Le Chapitre de la basilique de Saint-Quentin y avait des possessions.

A la fin du XIVème siècle, le seigneur était Guérars de Tertrych (sic) selon un document de 1372.

 

1640, François de Herte  seigneur de Tertry et de Septoutre, se maria avec Yolande de Goussencourt.

Tertry

de Herte : d'azur à trois fleurs de soucis d'or.

 

Au XVIIIème siècle , faisait partie du marquisat de Caulaincourt.

 

Le village a été rasé en 1917.

*

Eglise Saint Omer

Tertry

Aquarelle d'O.Macqueron 1875-bibliothèque d'Abbeville.

 

Tertry

Fortement endommagée en 1917.

Tertry

Reconstruite après guerre (photo Deroletz).

 

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Barleux

Publié le 27 Février 2024 par remus80

La commune ne possède pas de blason officiel.

 

 

Projet de blason proposé par Jacques Dulphy reprenant les armes de la famille de Tassart en inversant les couleurs.

 

Barleux

 

Au VIIème siècle appartenait au Chapitre Saint-Fursy de Péronne.

Il y eut quelques seigneurs du nom, sans grande importance.

Au début du XVème siècle, Mlle de Barleux épousa Mathieu de Fréchencourt, seigneur de Biaches.

Dès le XVème siècle, la famille de Tassart qui était seigneur de Belloy-en-Santerre, possédait également la terre de Barleux.

Jacques-François de Tassart, lieutenant-colonel au régiment du duc d'Orléans, il avait épousé Madeleine-Diane de Rouvroy en 1676, il meurt en 1692.

Barleux

 

 

de Tassart : de sable, à la bande d'or chargée de trois coquilles de gueules et accompagnée d'un croissant d'argent ( armes anciennes 15ème siècle). 

*

Eglise Saint Médard

Barleux

aquarelle d'O.Macqueron 1877-bibliothèque d'Abbeville

Barleux

 

L'ancienne datait du XVIème siècle

Détruite comme le village pendant la Première guerre mondiale

Reconstruite dans l'entre-deux guerres

Barleux

Barleux

 

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Authieule

Publié le 25 Février 2024 par remus80

Authieule

 

 http://armorialdefrance.fr/ 

D'argent au chevron de gueules chargé de trois roses d'or.

*

Le blason s'inspire des armes de Jean d'Authieule, vivant en 1206, chevalier, homme-lige du comte de Ponthieu, seigneur d'Authieule (Joannes Dominus de Atiola), que les historiens assimilent à Jean de la Rosière, qui figure lui aussi dans plusieurs chartes du 12e siècle en tant que seigneur d'Authieule.
Comme seigneurs d'Authieule, du nom de La Rosière, il y eut aussi Guy (vivant en 1215), un autre Jean (1236) et Hugues (1262). Les De La Rosière seigneurs d'Authieule portaient sur leur sceau des armes parlantes: trois roses.
Belleval (Sceaux du Ponthieu, 1896) précise que leurs armes étaient d'argent à trois roses de gueules et que la famille s'est éteinte en 1520.
(Jacques Dulphy)

*

Authieule, appelée également Anthieule est sous la France d'ancien régime, avant la Révolution, le siège d'une seigneurie détenue au xvie siècle par la famille Gargan.

Julien de Gargan, seigneur d'Anthieule et de Rollepot (sur Frévent), prévôt de la ville de Doullens, est anobli le 2 avril 1576 , il décède en 1588.

Son fils également appelé Julien, décède en 1653..

Authieule

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Eglise Saint Vaast

Authieule

Aquarelle d'O.Macqueron 1874-Bibliothèque d'Abbeville

 

Authieule

 

 

 

 

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Irles

Publié le 24 Février 2024 par remus80

La commune ne possède pas de blason officiel.

 

 

Projet de blason : Les armes de l'abbaye d'Eaucourt, écartelées à celles de la maison de Miraumont.

Irles

 

 

 

Il n'y eut pas de seigneurs du nom d'Irles. Le domaine était partagé entre :

>> l'abbaye d'Eaucourt (qui portait "d'azur à un clocher d'argent acccosté de deux étoiles d'or").

Irles

 

Damay décrit un sceau de 1315 de l'abbaye : "la façade d'une église au clocher en flèche et accosté de deux étoiles". (Archives du 62). Ces armes ont été relevées récemment par la commune de Warlencourt-Eaucourt.

L'abbaye d'Eaucourt s'élevait à peu de distancre de Pys et de Courcelette, près du village de Warlencourt. C'était une abbaye d'hommes fondée en 1101 (aujourd'hui, commune de Warlencourt-Eaucourt, dans le Pas-de-Calais).

>> La famille de Vaulx au XVIe siècle. Il existe plusieurs familles de ce nom, d'où un risque de confusion pour les armes.

>> La famille De Miraumont (dont Philippe de Miraumont, qui se disait en 1532 seigneur de Miraumont, d'Irles et de Beauregard, hameau de Miraumont. La famille portait : D'argent à 3 tourteaux de gueules.

Irles

*

Eglise Saint-Martin

L'ancienne église datait de la fin du XVIIème siècle.

Irles

Aquarelle d'O.Macqueron 1877-bibliothèque d'Abbeville

Irles

en 1909

 

Détruite pendant la Première Guerre, reconstruite en 1929-1930.

Irles

Irles

Irles

 

 



 

 



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Frise

Publié le 22 Février 2024 par remus80

 

 

Frise

http://armorialdefrance.fr/ 

 

Tiercé en pairle renversé: au 1er de gueules au coq d'or, au 2e d'or au coquelicot au naturel tigé de sinople, au 3e d'azur à trois burelles ondées d'argent et au poisson d'or brochant sur celle du milieu.

 

Création Jean-François Binon.
Adopté le 1er février 2019.
Le coq est l'attribut de saint Pierre, le coquelicot rappelle les souffrances de la Première Guerre Mondiale, les ondes et le poisson symbolisent la Somme qui arrose la Commune.

*

L'étang de la Grenouillère, une cense du terroir de Frise, appartenait à l'abbaye de l'Abbaye Saint-Barthélémy de Noyon qui en était seigneur et propriétaire.

L'abbaye d'Homblières possédait des eaux avec droit de pêche. 

Le village fut totalement détruit pendant la Première Guerre.

*

Eglise Saint Pierre

Frise

Aquarelle d'O.Macqueron 1877-bibliothèque d'Abbeville.

 

Détruite pendant la Première Guerre.

Frise

FriseFrise

 

Frise

 

Reconstruite en 1930

Frise

photo : A.Pictche

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Laviéville

Publié le 21 Février 2024 par remus80

La commune ne possède pas de blason officiel.

 

 

Projet de blason proposé par Jacques Dulphy reprenant les armes de la famille Hoschedé, sur lesquelles le tourteau central de la tour est remplacé par une croix templière

 

Laviéville

Bocacourt est un ancien village disparu, était situé entre Laviéville et Hénencourt.

On trouve Quelques anciens seigneurs de La Viéville et de Bocacourt, ces derniers paraissent avoir eu plus d'importance puisque La Viéville était sous la dépendance de Bocacourt.

En 1163, on trouve Robert de Burgacourt (Bocacourt), en 1178 il souscrit à la charte de commune de la ville d'Ancre.

Au XIIIème siècle, Robert Waubert puis son fils Jacques qui laisse aux Templiers leurs droits sur un manage.

En 1282, vente aux mêmes chevaliers du Temple par Jean d'Escourt.

Au XIVème siècle, en 1382 Jean Castel est sire de La Viéville.

Au XVIIème siècle, Jean Hoschedé (1636-1721) en est le seigneur.

Cette famille jusqu'à la Révolution.

Laviéville

Hoschedé : de gueules, à une tour d'argent chargée de trois tourteaux d'azur posés l'un sur l'autre, et accompagnée de trois besants d'or rangés en chef.

*

Eglise Notre-Dame

Laviéville

Aquarelle d'O.Macqueron 1877 

Laviéville

Ancienne église détruite pendant la 1ère Guerre.

Laviéville

église actuelle reconstruite en 1933 ( photo Ybroc)

Laviéville

Dans les années 1980, un ouvrier agricole en train de labourer remonte cette croix de grès avec sa charrue. Réinstallée à la fin de l'année 2001 près de l'église, ses origines sont mystérieuses. Est-ce une simple croix de tombe? On aimerait aussi établir un lien avec les Templiers ou les Hospitaliers qui ont possédé la Terre de Laviéville jusqu'au 17e siècle, mais cela reste une simple hypothèse.

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Méaulte

Publié le 18 Février 2024 par remus80

La commune ne possède pas de blason officiel.

 

 

Projet de blason proposé par Jacques Dulphy avec en chef un symbole représentant l'aviation (construction aéronautique Potez), une face ondée pour évoquer la rivière Ancre et un écu avec le lion sorti des armes de la famille d'Albert de Luynes .

 

Méaulte

 

Il y eut une ancienne famille du nom de Méaulte, mais elle eut peu de durée et disparait après le XIVème siècle, tel Wautier et Adam de Méaulte.

Le domaine selont toutes les apparences était divisé en deux partie, la plus importante appartenait à la châtellenie d'Ancre.

Dans le dénombrement de 1214, on trouve Othon d'Encre pour da possession de Miaute (sic).

En 1279, Hugues de Sapignies est dit seigneur en partie.

Méaulte

d'azur à la croix d'or engrêlée

(gouache de Marcel Stiennon 1977)

Méaulte

sceau d'Hugues de Sapignies (archives départementales )

 

La seigneurie appartenait ensuite au marquisat d'Ancre avec Albert de Luynes.

Méaulte

d'Albert de Luynes : Écartelé : aux 1 et 4 d'or au lion de gueules armé, lampassé et couronné d'azur (Albert au comté de Nice) ; au 2 et 3 de gueules à neuf macles d'or posées 3, 3, 3 (Rohan). d'après Jougla de Morenas

 

Puis au XVIIIème siècle au duc de Penthièvre.

 

Le bourg a malheureusement souffert pendant les deux grandes guerres. Le village fut détruit en 1918 et bombardé pendant la seconde guerre.  

                                                                   *

                                              Eglise Saint Léger

Méaulte

 

aquarelle d'O.Macqueron 1874- bibliothèque d'Abbeville

Méaulte

L'ancienne datait de 1743 avec un choeur de 1680.

Détruite lors de la Première Guerre.

Méaulte

 

Méaulte

                                      Rebâtie en 1928 (photo Jean-Marc Laviéville)

 

 

 

 

 

 

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