• Bouvaincourt sur Bresle

    https://armorialdefrance.fr/ 

     

    D'argent au chevron de gueules, accompagné de trois tourteaux du même ordonnés en orle en chef à dextre et de trois billettes de sable ordonnées en orle à senestre et de trois autres du même mal ordonnées en pointe.

    ***

    La commune a relevé les armes de la famille De Friaucourt (dite aussi De Frieucourt).
    Cette famille, qui a possédé jusqu'au début du XVIe siècle la seigneurie de Friaucourt, en Vimeu, donna ensuite les seigneurs du hameau de L'Isle-Saint-Hilaire (paroisse de Bouvaincourt) de 1510 à 1728.

    Ont été inhumés dans l'église de Bouvaincourt les deux derniers seigneurs du nom, en 1701 et en 1728: Nicolas de Friaucourt, écuyer, seigneur de Lisle-Saint-Hilaire et de Tully, et sa fille Antoinette. 
    (Jacques Dulphy)

    Bouvaincourt sur Bresle

    Blason sur la mairie

    *

     Il y avait deux seigneuries : Bouvaincourt et le fief de Lisle-Saint-Hilaire

    Bouvaincourt : en 1215 on trouve comme seigneur Rorgon de Beauchamp dit de Bouvaincourt et en 1218 André de Bouvaincourt.

    Puis les de Créquy en 1311 jusqu'en 1380 où Philippine de Créquy épouse Charles de Soyecourt.

    Vers 1398 Hugues de Soyecourt vend à Marie de Berry, comtesse d'Eu, épouse de Philippe d'Artois.

    La terre passe ensuite au duc de Nevers qui la cède vers 1570 à Antoine Olivier, trésorier général à Bourges.

    Revendue peu après à Claude de Maricourt, veuve de Nicolas Rouault de Gamaches, elle épouse ensecondes noves Joachim de Bellengreville, grand prévôt de France.

    Bouvaincourt sur Bresle

    Rouault : De sable à deux léopards d'or l'un au-dessus de l'autre, armés et lampassés de gueules.

    La terre demeura aux Rouault jusqu'à la Révolution, le dernier seigneur fut Nicolas-Aloph Rouault.

    La seigneurie consistait en un château avec fossés et basse-cour, il était déja en ruines en 1589, en 1848 on a démoli un reste de tour subsistant.

    Bouvaincourt sur Bresle

    motte castrale 1988 (photo R.Agache)

    Bouvaincourt sur Bresle

    château actuel faisant chambres d'hôtes (Florestine Forestier).

    Fief de Lisle-Saint-Hilaire

    Jeanne de La Motte, épouse de Guillaume d'Embreville en 1311-1322

    Les d'Embreville tinrent le fief lusqu'en 1459 par le mariage de Guyote d'Embreville avec Hue de Flexicourt .

    Bouvaincourt sur Bresle

    Dès 1510 la terre appartient à Louis de Frieucourt, cette famille gardera la terre jusqu'en 1728, quand Antoinette de Frieucourt épouse Pierre-Hubert de Fontaines, ils n'eurent pas d'enfants, leur héritier en 1760 fut leur cousin Charles-Philippe Aymard, marquis de Fontaines.

                                                      *

                                         Eglise Saint-Hilaire            

                   La construction de l'église Saint-Hilaire remonte au XIIe siècle pour le clocher, au XIIIe siècle pour le chœur, le transept a été construit au XIVe siècle et la nef au XVe siècle .

    L’église de Bouvaincourt a été construite en pierre selon un plan en forme de croix latine. L'élément le plus imposant de cette église est la tour-clocher qui s'élève sur quatre étages. Ce clocher massif est de style roman. Au sud, à la rencontre du clocher et de l’église, se trouvent les restes d'une tourelle ronde dans laquelle une meurtrière est percée. Aux deuxième et troisième étages du clocher, des meurtrières ont été ouvertes. Au quatrième étage, trois fenêtres ont été créées.

    On pénètre dans le bâtiment par un porche à deux entrées ogivales, l’une au nord et l’autre au sud. L’épaisseur des murs à cet endroit est de 1,70 m.

     

    Le chœur comprend cinq fenêtres en plein cintre ou ogivales. Elles sont sept fois plus longues que larges. Un arceau sépare le chœur de la nef.

    Bouvaincourt sur Bresle

    en 1853

    Bouvaincourt sur Bresle

                           


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  • La commune ne possède pas de blason officiel.

     

    Projet de blason proposé par Jacques Dulphy et Daniel Juric associant les armes des Sanson et celles des de Morogues avec une voile de bateau symbolisant la fabrication artisanale de voiles pour la marine aux 18 et 19ème siècles.

    Ercourt

    d'or à la voile de bateau d'azur, gonflée et attachée à une vergue de gueules, sommée d'un sansonnet de sable, becqué et membré de gueules et posé sur la vergue, à la champagne d'azur chargée de quatre étoiles d'or.

    *** 

    Les premiers seigneurs portaient le nom de la commune aux 12 et 13ème siècle comme Richer d'Ercourt en 1129, Wermon et Guillaume d'Ercourt en 1146, Hugues d'Ercourt en 1204.

    Les de Cantepie au 13ème siècle

    Les d'Abbeville-Yvergny aux 15 et 16ème siècle

    Ercourt

    Abbeville-Yvergny :d'argent à trois écussons de gueules.

    Les de Monchy aux 16 et 17ème siècle par le mariage de Marguerite d'Abbeville avec Jean de Monchy.

    Ercourt

    de gueules à trois maillets d'or.

    En 1594 Louise de Monchy épouse Alexandre de Morogues , cette famille possèdera la seigneurie aux 17 et 18ème siècle.

    Ercourt

    de Morogues : d'azur au chevron d'or, accompagné de trois étoiles d'or en chef, rangées en fasce et une en pointe de même.

    En 1717 Claude de Cacheleu

    Ercourt

    Cacheleu : d'azur à trois pattes de loup.

    En 1753 Robert-Vulfran Sanson, conseiller-decrétaire du Roi et maïeur d'Abbeville qui avait épousé Marie-Marguerite Montmignon.

    Ercourt

    Sanson : d'argent à trois sansonnets de sable, becqués et membrés de gueules (armes parlantes).

    Puis son fils Jacques-Robert-Vulfran Sanson, dernier seigneur , c'est lui qui fit reconstruire le château, remanié en 1849 par Henri-Adhémar Le Blond du Plouy , baron, maire de la commune de 1850 à son décès en 1900.

    ErcourtErcourt

     

    Ercourt

     

    Photo JN Marchiset-Héraut

     

     Depuis 2017 le château est devenu le centre Pompadour accueillant des chambres d'hôtes.

     

    * Dans l'église Saint Sulpice a été inhumée, sous une pierre tombale armoriée, Marie-Marguerite Montmignon, épouse de Robert-Vulfran Sanson, décédée le 30 octobre 1762.

    Ercourt

    Ercourt

    Montmignon : D'azur au chevron d'or accompagné de trois coeurs du même.

    ***

    Eglise Saint Sulpice

    17 et 18ème siècle.

    Ercourt

    EN 1860

    Ercourt


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  • Bellancourt

     

    http://armorialdefrance.fr/

    D'or au cheval passant de gueules; au chef d'azur chargé d'un poisson d'argent.

    ***

    Création Jacques Dulphy.
    Adopté en juin 2006.

    Vers le XIe siècle, à Monflières, hameau près de Bellancourt, un jeune berger qui gardait son troupeau découvrit avec sa crosse, dans le tronc creusé d'un orme, une statue de la Vierge.
    La nouvelle se répandit, et deux villages voulurent posséder la statue: Vauchelles et Bellancourt. On plaça la statue sur un char attelé, par un bout, de quatre forts chevaux de Vauchelles, et de l'autre du seul cheval que possédait Bellancourt. Vauchelles était donné gagnant. Mais c'est vers Bellancourt que se déplaça le char. Bellancourt devint donc le gardien de la statue. Et c'est à l'emplacement de la découverte, sur une terre appartenant à l'abbesse de Berteaucourt et qu'elle offrit, que fut construit au début du XIIe siècle (en 1160?) la première chapelle du lieu, pour abriter la statue miraculeuse...
    Le cheval de Bellancourt a donc été retenu pour figurer sur le blason de Bellancourt. De plus, le cheval est plusieurs fois présent dans l'histoire du village: l'église est sous le vocable de saint Martin (le cavalier) et jusqu'au XIXe siècle un relais de poste à chevaux existait à la sortie du village.
    En chef, figure un poisson, élément tiré du blason des abbesses de Berteaucourt qui se décrivait: "d'azur à trois poissons d'argent posés en fasce l'un sur l'autre"; les abbesse de Berteaucourt possédaient aussi la seigneurie de Bellancourt.
    (Jacques Dulphy)

    *

    La commune possédait deux seigneuries

    La première était tenue du roi, elle appartint successivement : de 1312 à 1363 à Eléonor de Roye, épouse de Jean de Châtillon.

    De 1363 à 1377 à Gaucher de Châtillon, puis Jean de Châtillon qui vend au chapitre de la cathédrale d'Amiens qui la gardera jusqu'en 1789.

    Bellancourt

    de Châtillon : de gueules, à trois pals de vair, au chef fretté d'or.

    La seconde seigneurie appelée La Lagne, était aussi tenue du roi.

    Les seigneurs furent en 1440 Philippe de Waencourt,seigneur de Pont-Rémy.

    De 1473 à 1490 Jean de Maupin dit l'ainé, maïeur d'Abbeville, marié à Marguerite de Vaconssains.

    Bellancourt

    de Maupin : fretté d'argent et d'azur, à la bordure de gueules

    Les de Maupin, longue lignée de maïeurs d'Abbeville gardèrent la seigneurie jusqu'en 1598, date à laquelle Marguerite de Maupin épouse Gilles de Sacquespée, seigneur de Selincourt.

    Cette famille gardera la seigneurie jusqu'en 1661 où elle est vendue à Jean Douzenel.

    En 1703 Charles-François Douzenel de l'Epine, puis Jean-Marie en 1734 et Antoine en 1771.

    François-Xavier de Freitag, baron, maréchal de camp des armées du Roi, fut maire de la commune de 1803 à 1805 puis de 1830 à 1831.

    Nicolas-François Guéroult-Duberville, écuyer, chef d'escadron et ancien brigadier des gardes du corps des rois Louis XVI et Louis XVIII, fut maire de la commune de 1806 à 1829.

    Emile du Plantard de Lancourt fut maire de 1855 à 1870 puis de 1886 à 1891.

    Bellancourt

    Château en 1864

    ***

    Eglise Saint Martin

    Du XVIème siècle, restaurée à plusieurs reprises.

    Bellancourt

     

    Bellancourt

    en 1869

    ***

    Chapelle de Monflières

    BellancourtBellancourt

     

    La chapelle de Monflières fut construite vers 1160 après l’apparition à un berger de l’image de la Sainte Vierge dans un orme. Cette image est reconnue miraculeuse, la chapelle est agrandie à trois reprises au cours des siècles. Chaque 15 août, jour de l'Assomption, un pèlerinage se déroulait à la chapelle.

    En 1778, la reine Marie-Antoinette offrit à la Vierge de Monflières un drap d’or en remerciement de la naissance de sa fille Marie-Thérèse. Selon la tradition orale, la modiste Rose Bertin, native d'Abbeville, connaissant les vertus supposées de la Vierge de Monflières, aurait persuadé la reine de l'invoquer pour qu'elle lui permette d'avoir un enfant.

    L’orme où avait eu lieu l'apparition fut abattu en 1965, par mesure de sécurité. Il mesurait 7 mètres de circonférence et 30 mètres de haut


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  • La commune ne possède pas de blason officiel

     

    Projet de blason proposé par Jacques Dulphy associant les armes des de Mauchevalier et celles des de Blottefière avec une croix de Malte symbolisant la commanderie de Courtemanche.

     

    Voyennes

     

    En 985, Lothaire confia la défense du passage de la Somme à Voyennes aux templiers. Les seigneurs responsables du fort sont Renaut de Courtemanche et Luc de Vienna.

    Plusieurs sources confirment la présence d’un fort templier sur le territoire de Voyennes : « En 1182, le chapitre de Noyon avait acensé à Nivelon de Montdidier, maître du Temple dans le diocèse de Noyon (il n'y avait pas encore de baillie de Vermandois), ses moulin, chaussée et pêcheries de Voyennes, moyennant dix muids de froment et 40 sols de monnaie de Vermandois. Les frères du Temple s'engageaient à payer le cens convenu, à Noyon, le transport du grain étant à leur charge, et à souffrir le libre passage sur la chaussée des chevaux, des voitures à deux et quatre chevaux et autres véhicules du chapitre. Quant aux chanoines, ils devaient veiller à ce que leurs hommes allassent au moulin des Templiers et non à un autre3 ».

    Aujourd'hui, les templiers laissent leur nom à une impasse, à un chemin pédestre et une association dans la commune fait découvrir leur mode de vie.

    Rien ne subsiste du premier château fortifié.

    En 1500 on trouve Jean de Mauchevalier qui avait épousé Jacqueline de Warluzel.

    Voyennes

    Mauchevalier : d'argent, à la bande d'azur chargée de trois fleurs de lys d'or, accostée de six merlettes de sable.

    Leur fille Marie de Mauchevalier épousa Raoulquin de Folleville.

    Leur fils François de Folleville épouse en 1514 Françoise de Wadencourt.

    Voyennes

    de Folleville : d'or à dix losanges de gueules, accolés et aboutés 3,3,3 et 1

    Puis leur fils Charles de Folleville en était le seigneur en 1569.

    Les ligueurs y placèrent une garnison en 1589

    La petite fille de Charles de Folleville, Jeanne de Warluzel épousa en 1595 Jean de Blottefière, gentilhomme de la Chambre du Roi et gouverneur de Doullens.

    Voyennes

    de Blottefière : d'or à trois chevrons de sable.

    Leur fils Gabriel, marquis de Villencourt, fut gouverneur de Montdidier et Nicolas, l'aîné de leur Petit-fils, capitaine de chevau-légers.

    Puis François de Blottefière, lieutenant du Roi en Picardie, à la fin du XVIIème siècle, il fut inhumé à Voyennes en 1710.

    Vinrent ensuite Pierre de Blottefière, lieutenant-colonel de cavalerie qui meurt en 1746 et François-Joseph, capitaine de vaisseau du roi.

    Pierre-Théophile, comte de Blottefière fut promu maréchal de camp en 1770 et mourut quatre ans plus tard, célibataire, au château de Voyennes qu'il avait fait reconstruire en 1767.

    Voyennes

    Mis en vente en 1774, Louis de Blottefière, son frère, le conserva finalement .

    Son fils Pierre-Louis, comte Blottefière de Voyennes, fit une belle carrière militaire, né en 1746, il fut maréchal de camp en 1792, participa à la bataille de Jemmapes et au siège de Maastricht, devenu sourd à la bataille de Neerwinden, il se retira à Voyennes où l'on vint le trouver en 1805 pour lui demander d'organiser les cohortes du département de la Somme.

    Un an avant sa mort en 1818, il céda le domaine à sa fille Anne-Marie, épouse de Quentin Gobinet de Villecholle.

    Passé sous Louis-Philippe à la famille de Crémery puis vendu en 1912 à M.Gruet.

    Le château a disparu au cours de la Grande Guerre, il se trouvait à proximité du canal de la Somme, une motte se voyait encore à son emplacement.

                                                                     ***

                                                       Eglise Saint-Etienne

    Voyennes

    église romane en 1876

    L’église Saint-Étienne était un précieux monument d’époque Romane, riche de moulures dentelées autour des fenêtres et d’un magnifique bas-relief en pierre bleue sur le pignon du portail. D’abord endommagée pendant la guerre de 1870, elle servit d’infirmerie aux troupes allemandes dès 1914, avant d’être détruite lors des épisodes de la bataille de la Somme. Elle fut reconstruite en 1928, dans un style assez proche, avant d’être à nouveau détruite en 1940 par un bombardement aérien.

    Voyennes

    ancienne église en 1906

    Voyennes

    Voyennes

    L’église actuelle a été rebâtie sur le même emplacement, à côté du monument aux morts.

     

    Voyennes


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  • La commune ne possède pas de blason officiel.

     

    Projet de blason proposé par Jacques Dulphy associant les armes des de Cambron et de Grouches avec le moulin et la motte féodale symbolisés.

     

    Saint-Maxent

     

    La seigneurie était tenue en deux fiefs du roi et consistait en une maison avec six journaux d'enclos, vingt six journaux de terres labourables.

    Le chef-lieu en 1311 était un château et manoir sur la motte et autour, la forteresse était peu considérable à en juger par les petites dimensions de la motte, qui se voit encore près du chemin d'Oisemont. Le village fut brûlé en 1472 par les troupes de Charles le Téméraire ainsi que le château-fort.

    On trouve des seigneurs portant ce nom au XIIème siècle comme Bernard de Saint-Maxent.

    Puis Henri et Gauthier de Cambron au XIIIème suivis de Huon d'Airaines en 1280.

    Saint-Maxent

    de Cambron : fascé de gueules et d'or de huit pièces.

     De 1300 à 1330 Isabelle d'Airaines épouse d'Aléaume de Brimeu .

    De 1330 à 1360 Jeanne de Brimeu épouse de Guillaume Tyrel de Poix, cette famille gardera la seigneurie jusqu'en 1415 où le mariage de Jeanne Tyrel avec Jean de Lannoy fera entrer le domaine dans cette famille jusqu'en 1465.

    On trouve ensuite les de Hornes par le mariage de Jeanne de Lannoy avec Philippe de Hornes.

    Arnould de Hornes vend en 1497 à Jean de ....., gouverneur du château d'Abbeville, sans postérité, il lègue à son parent Louis de Toeuffles.

    En 1586 Françoise de Toeuffles épouse Adrien de la Rivière, baron de Chepy.

    En 1620 Anne de la Rivière épouse Robert de Grouches, cette famille conservera la seigneurie jusqu'à la Révolution de 1789.

    Saint-Maxent

    de Grouches : d'or à trois fasces de gueules.

     

    ***

    Eglise Saint Vincent

     

    L'édifice a été construit aux xie – xiie siècles mais fut remanié au xvie siècle. Le chœur a été reconstruit au xixe siècle.

    L'église présente des vestiges des xie – xiie siècles mais, une grande partie de l'édifice a été construite en style gothique flalboyant : le bas-côté sud, la chapelle Saint-Nicolas, le porche latéral et le clocher-tour avec sa charpente en flèche recouverte d'ardoise.

    Saint-Maxent

    En 1852

    Saint-Maxent

    Saint-Maxent

     le moulin à vent de Saint-Maxent est un moulin de bois sur pivot construit en 1630 sur une motte féodale du XIIIème siècle. Il a été restauré au cours du xviiie siècle, certaines pièces portent les dates de 1736-1737. Il est protégé au titre des monuments historiques : classement par décret du 19 janvier 1948


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