• Ancienne commune rattachée à Moyenneville.

                                                       ***

     

    Les Maillefeu en était seigneurs depuis le début du XVIème siècle;

    La famille de Cacheleu possédait la seigneurie depuis 1625, date à laquelle Jacques de Cacheleu avait épousé Françoise de Maillefeu.

    Bouillancourt-sous-Miannay

    de Cacheleu : d'azur à trois pattes de loup d'or, posées en pal 2 et 1.

    Le château fut construit en 1755 sur l'initiative de Charles-François de Cacheleu, chevalier, page du roi Louis XV.

    Bouillancourt-sous-Miannay

    Château en 1866

    Avant sa mort en 1768, comme il n'avait pas d'enfant, il légua à son cousin Maximilien de Cacheleu de Méricourt en Vimeu, capitaine au régiment de Brie puis Colonel de cavalerie, il épousa en 1755 Marie-Anne Desforges de Caulières.

    Puis Armand de Cacheleu, lieutenant au régiment de Cambrésis, qui se maria en pleine Révolution et mourut en 1842.

    Suivirent Charles-Armand-Gustave (1843-1876) et Adhémar de Cacheleu (1839-1899) qui fit exécuter d'importants travaux après son mariage avec Coralie Godde de Monthières.

    Par legs successifs le domaine est revenu à la baronne du Plouy, née Vincent d'Hantecourt, apparenté aux de Cacheleu.

    Bouillancourt-sous-Miannay

    Le Blond du Plouy : d'azur, au chevron d'argent accompagné de trois roses de même.

    Bouillancourt-sous-Miannay

    Tombeau de la famille de Cacheleu au cimetière

     

    église Saint Samson construite au XVIème siècle.

    Bouillancourt-sous-Miannay

    Bouillancourt-sous-Miannay

    Bouillancourt-sous-Miannay

    Ch'foaiseux d'grignées, une tête de paysan qui fait des grimaces en tirant la langue en direction de l'autel.

     

    Bouillancourt-sous-Miannay

    Pierre tombale médiévale incorporée dans le mur du cimetière.

    Bouillancourt-sous-Miannay

    Croix en tuf incorporée dans le mur du vieux cimetière


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  • Moyenneville

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    D'argent à deux lions affrontés de sable, armés et lampassés de gueules; le tout dans un double trescheur fleuronné de gueules.

     

    La commune de Moyenneville a adopté ces armes par délibération du 9 février 1970.
    Mais ce ne sont pas, comme l'affirme l'Armorial de la Somme (1972), "les armes de Jean de Bailleul, roi d'Ecosse au début du 14e siècle". Aucun De Bailleul n'a été seigneur de Moyenneville, les De Bailleul portaient d'hermine à l'écusson de gueules, et Jean de Bailleul fut, non roi, mais vice-roi d'Ecosse. Seule une ressemblance avec les armes d'Ecosse (le trescheur fleuronné de gueules) a pu être à l'origine de la confusion.
    Le choix de la commune de Moyenneville, établi sur la proposition de François Danzel d'Aumont (1917-1994), maire d'Aigneville et membre titulaire de la Société d'Emulation d'Abbeville, s'est porté sur le blason de la famille De Moyenneville, originaire du lieu, et aujourd'hui disparue. Si les De Moyenneville furent sans doute parmi les premiers seigneurs du lieu, leurs noms ne sont pas connus. Belleval écrit dans son Nobiliaire du Ponthieu (tome 1, 1862) "cette ancienne famille du Vimeu (...) s'allia presque toujours aux meilleures familles du pays. Elle était connue à Abbeville depuis Hugues de Moyenneville, maïeur d'Abbeville en 1232 et 1237 et Enguerrand, doyen (des chanoines) de Saint-Wulfran en 1260". Belleval décrit les armes de la famille De Moyenneville: "d'argent à deux lions affrontés de sables, armés et lampassés de gueules, au trescheur fleuronné de gueules". L'abbé de Vallemont (Les Eléments de l'Histoire, tome 1, 1714) les blasonne plus simplement "d'argent à deux lions affrontés de sable au trescheur fleuré de gueules" et les grave.

    (Jacques Dulphy)

    Moyenneville

    Blason de Hugues de Moyenneville, maïeur d'Abbeville en 1232 et 1237.
    Blason tiré de l'Armorial des maïeurs d'Abbeville, manuscrit de la fin du 16e siècle ou du début du 17e siècle dessiné et illustré par Pierre Waignart,dont il existe trois exemplaires, dont l'un est conservé à la Bibliothèque municipale d'Abbeville (80).
    (Aimablement transmis par Jacques Dulphy)

    ***

    Antoine Le Quieu en était le seigneur à la fin du XVème siècle

    Moyenneville

    Le Quieu : d'azur à un chevron d'or, accompagné de trois gerbes de blé de même, deux en chef et une en pointe.

    Moyenneville

    Antoine Le Fèvre de Caumartin, trésorier de France, en 1560, marié à Anne des Essarts.

    Moyenneville

    Le Fèvre de Caumartin : d'azur à cinq trangles d'argent.

     

    Son fils Antoine II, conseiller et maître d'hôtel du Roy.

    Marguerite du Monchel, dame de Moyenneville, avait épousé Jean Le Roy au début du XVIème siècle.

     

    En 1587, François Le Roy, héritier de la seigneurie de Moyenneville et écuyer du duc d'Aumale, épousa Antoinette de Rivery et acheta la seigneurie de Valanglart.

    Moyenneville

    Le Roy de Valanglart : coupé d'or et d'hermine à la fasce de sinople brochant, l'or chargé d'un lion léopardé de gueules. 

    Moyenneville

    C'est à son fils René Le Roy de Valanglart que l'on attribue généralement la construction du château, entre 1621, date de son mariage avec Renée des Landes, et 1635, date de sa mort.

    Moyenneville

    Clef de voûte avec les armes du marquis de Valanglart et celles des du Quesnoy(une bande d'azur).

    Moyenneville

    Son petit-fils François épousa en 1668 Antoinette Le Fort et s'installa au Quesnoy-sur-Airaines qui devint la résidence habituelle de ses successeurs jusqu'à la fin de l'Ancien Régime.

    A la Révolution, le marquis de Valanglart abandonna ses châteaux et partit pour l'émigration où il mourut en 1794.

    Ses biens furent mis en vente, mais ses soeurs qui habitaient Moyenneville, évitèrent la saisie du domaine, Hélène, chanoinesse à Bellechasse y mourut en 1796 et Marie-Anne en 1800.

    Héritier de ses tantes, Raoul, troisième marquis de Valanglart (1771-1848) épousa en 1806 Angélique de Machault d'Arnouville et fit restaurer le château.

    Moyenneville

    Au début du Second Empire, son fils Henri résolut de donner au domaine une tout autre dimension, il fit remplacer les bâtiments d'exploitation qui encombraient les abords de l'ancien château et fit construire une grandiose ferme modèle entre 1852 et 1857.

    Moyenneville

     

    Moyenneville

    Après sa mort, ses successeurs délaissèrent le domaine.

    Au cours de la Première Guerre mondiale, le château fut occupé par des contingents indiens de l'armée anglaise, un début d'incendie occasionna d'importants dégâts.

    A nouveau endommagé au cours des combats de mai 1940, l'édifice n'était plus qu'une ruine à la Libération.

    Après la mort de Guy, dernier marquis de Valanglart, en 1956, le général de Germiny en fit abattre les restes et construire à proximité une demeure plus modeste.

    Moyenneville

     

    Eglise Saint Samson

    Sa construction date du XVIème siècle pour le choeur, sa massive tour-clocher a perdu sa flèche en pierre pendant les destructions de 1940.

    Moyenneville

    Moyenneville

    Moyenneville

    Moyenneville

    Blason très altéré au-dessus de la porte du clocher qui doit être celui des de Valanglart.

     

     

     


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  • Gapennes

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    D'argent à l'écusson d'azur, accompagné de six billettes de même.

    Ce sont, telles, les armes de la famille De Gapennes, qui posséda la seigneurie éponyme depuis Hugues de Gapennes, premier connu du nom en 1100 (il fut alors témoin d'une charte) jusqu'à Jean de Gapennes, écuyer, capitaine de Dourdain (35), seigneur de Gapennes jusqu'en 1460.

    Aléaume de Gapennes trouve la mort à Azincourt en 1415.

    Le fils de Jean, Antoine, conseiller et chambellan du roi, n'est plus seigneur de Gapennes, mais seigneur de Thanny et d'Angres (62). Son fils Charles de Gapennes (ou: de Gaspannes) , dernier du nom, était seigneur d'Haravesnes (62), de Brailly (80) et de La Ferté-lès-Saint-Riquier (80) en 1507.

    René de Belleval (Nobiliaire du Ponthieu, tome II, 1864) précise que cette famille "disparut vers les premières années du 16e siècle". Il ajoute qu'il n'a pu en retrouver les armoiries. Riestap (Armorial général, 1884, tome I) les blasonne pourtant : d'argent à un écusson d'azur en abîme, accompagné de six billettes du même, rangées en orle. Ce sont ces armes qui sont aussi connues aujourd'hui pour la commune de Gapennes. (Jacques Dulphy)

    ***

    Le village fut brûlé par les Impériaux en 1534.

    Au XVIIème siècle Jacques de Gaillard, seigneur de Séronville, avait acquis d'Henri de Conflans la terre qui portait probablement encore les traces des exactions commises par les Espagnols.

    Gapennes

    Gaillard de Boencourt : d'azur à un chevron d'argent, accompagné de trois croix pattées de même.

    Son fils Charles Gaillard, conseiller au Présidial d'Abbeville, épousa en 1709 Marie-Anne Sanson, il meurt en 1730.

    Gapennes

    château en 1865

    Son fils Louis fit construire le château, comme le rappelait la présence de ses armes sur la grille au côté de celles d'Adélaïde Fouger d'Escures, qu'il avait épousé  en 1741, lieutenant des maréchaux de France à Clermont, il assista en 1750 à la bénédiction des cloches de l'église.

    Gapennes

    Il se défit cette même année du domaine au profit de Marc-Antoine de Carpentin, famille du Ponthieu, époux de Marie-Marguerite de Buissy, il était en 1770 commandant de bataillon au régiment de Bassigny, il ne dut habiter le château que très épisodiquement et meurt en 1807.

    Gapennes

    Gapennes

    De Carpentin : d'argent à trois fleurs de lis au pied coupé de gueules.

     

    Leur fille Marie-Françoise épousa son cousin Jean de Carpentin, mousquetaire de la Garde du Roi, et mourut âgée en 1835 à Abbeville.

    Jules de Carpentin, lieutenant-colonel de cavalerie, conseiller général puis député en 1840, laissa le domaine à son neveu le comte François-Aloph de Louvencourt, lieutenant de louveterie en la forêt de Crécy.

    Il vendit le château en 1869 pour s'installer à Quesnoy sur Airaines, et mourut six ans plus tard à Seux.

    L'acquéreur fut Louis-François Lefebvre qui est l'ancêtre de Louis Lefebvre, le restaurateur du château après les bombardements de la dernière guerre et de M.Patrice Lefebvre qui y a créé des chambres d'hôtes.

    Gapennes

    Par APictche — 

                    *                         

    Église Notre-Dame-de-l'Assomption : reconstruite une première fois vers 1700, elle subit plusieurs effondrements. Refaite en brique au xxe siècle, son clocher semble indépendant. Sous cette église, une vaste carrière, composée de trois rues principales et 42 chambres, a été creusée. Ces carrières dont l'accès a été oublié ont servi de refuges pour les habitants au cours des différentes guerres.

     

    Gapennes

    Ancienne église en 1857

    Gapennes

     

    Gapennes

     

    église actuelle Par APictche — 


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  • La commune ne possède pas de blason officiel

     

     

    Projet de blasonnement proposé par Jacques Dulphy en associant les armes des Boubers-Abbeville et celles des de Brimeu (aigle).

     

    Mons-Boubert

     

    La commune est issue du fief de Boubers-en-Vimeu.

     

    Le premier seigneur connu de Mons est Aléaume de Brimeu en 1300.

    Isabelle de Brimeu épouse David de Poix en 1343.

    En 1364 on trouve Jean d'Abbeville.

    Au début du XIIIème siècle, Ide de Boubers (Bouberch), fille de Hugues de Boubers, épousa Guillaume d'Abbeville, seigneur de Tunc.

    Mons-Boubert

    De Boubers: d'argent à trois écussons de gueules

    En 1286 Girard d'Abbeville fonda une chapelle dans son château, siège de l'une des pairies du Ponthieu.

    Mentionnée en 1367 dans un dénombrement, la seigneurie consistait en un chasteau, manoir et basse-cour.

    En 1421 Jeanne d'Abbeville, dame de Boubers et fille d'Edmond, chambellan du duc de Bourgogne, épousa Jean de Melun, connétable de France.

    Mons-Boubert

    De Melun : d'azur à sept besants d'or, au chef d'or.

    Mons-Boubert

    gouache de Marcel Stiennon 1959

    La pairie demeura dans cette puissante famille jusqu'à Louis de Melun, duc de Joyeuse et prince d'Epinoy.

    Mons-Boubert

    Armes des de Melun qui se trouvent au-dessus de la porte d'entrée de la ferme seigneuriale.

    Mons-Boubert

    Photo: J.Dulphy

     

    Il mourut sans postérité en 1734, l'héritier fut son neveu le maréchal de Rohan-Soubise, qui vendit la terre en 1770 à Pierre Babaud de La Chaussade, baron de Villemanant.

    Mons-Boubert

    Babaud de La Chaussade : d'or, au chêne terrassé de sinople, englanté du champ.

    L'ouvrage qui existait encore au XVIIIème siècle, probablement ruiné, n'a pas laissé de vestiges significatifs, tout au plus peut-on en identifier l'emplacement au-dessus du village, au pied du bois, on reconnait les fondations de deux tours démolies vers 1825 et la trace des fossés dont le relief était encore bien marqué vers 1870.

    Mons-Boubert

    Elevé en 1867 par M.Manessier préfet d'Abbeville, le petit château du bois de Boubert est situé au-delà de la butte qui signale les vestiges de l'ouvrage médiéval.

     

    Mons-Boubert

    Château du Bois de Boubert

    Egalement moderne, celui de la Court-au Bois doit son nom à une ancienne seigneurie appartenant à Gédéon de Monchy en 1514, à Daniel de Montmorency-Bours au 17ème, à M.Bourée de Neuilly en 1750, aux familles Lefebvre du Bus et de Caix de Rembures au 19ème.

    Mons-Boubert

    Mons-Boubert

    ***

    Eglise Saint Martin

    La partie la plus ancienne remonte au 14ème siècle

    Un agrandissement a été réalisé en 1765 avec l'ajout d'une travée de chaque côté.

    Mons-Boubert

    Mons-Boubert

    En 1859


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  • http://armorialdefrance.fr/  

     

    D'argent à la fasce d'azur, accompagné en chef de trois fleurs de lis de gueules et en pointe d'une molette de sable.

    ***

    Les premiers seigneurs de Noyelles furent les comtes de Ponthieu, aussi seigneur de Maisnières, qui portaient d'or à trois bandes d'azur dans la forme ancienne.
    Les armes des De Ponthieu anciennes sont déjà relevées par la commune de Maisnières (80); aussi, la commune de Noyelles-sur-Mer emprunte-t-elle son blason à une autre famille, qui ne fut jamais seigneur du lieu mais qui lui doit son nom: les De Noyelles.
    Cette famille, originaire du lieu, dit Belleval (Nobiliaire, 1864, tome 2) a été anoblie en 1388 dans la personne de Jean de Noyelles "demeurant à Saint- Valery". Les armes qui lui furent octroyées dans cette circonstance étaient d'argent à la fasce d'azur accompagnée en chef de trois fleurs de lis de gueules, et en pointe d'une molette de sable.
    Ces sont ces armes que porte la commune, sans brisure.
    A la famille De Noyelles appartient aussi Jean de Noyelles, maïeur d'Abbeville en 1478. Le dernier du nom, Jean de Noyelles, écuyer, avocat en Parlement, mort en 1524, laissa trois filles.
    (Jacques Dulphy)

    Blason de la famille de Noyelles.
    "Chronologie des maïeurs d'Abbeville" par le père Ignace, 1657.
    Bibliothèque municipale d'Abbeville.
    (Aimablement transmis par Jacques Dulphy)

    ***

    cliquer pour agrandir

    Mentionné à partir de 1178, le château-fort était le siège de l'une des pairies du comté de Ponthieu.

    La charte de commune fut octroyée en 1194 par Guillaume III Talvas, comte de Ponthieu.

    Il échut en 1340 à Blanche de Ponthieu, comtesse d'Aumale, qui y accueillit en 1357 le roi de Navarre.

    Tombé en 1360 aux mains des Anglais, il fut repris en 1369 par les troupes de Charles V .

    Après la bataille d'Azincourt de 1415, il revient aux Anglais.

    Il fut attribué en 1423 à Jean de Villiers de L'Isle-Adam, maréchal de France.

    Au cours des guerres de religion, les ligueurs d'Abbeville l'enlevèrent au duc de Longueville et en confièrent la défense à M. de Rambures.

    Démantelé peu après puis saccagé par les troupes en campagne, il offrait encore au début du 18ème siècle des ruines identifiables, à l'extrémité du village vers Abbeville.

    Passé des Harcourt aux Orléans-Longueville, la terre était importante.

    Louis Béchameil, marquis de Nointel, l'acquit en 1715 avec le château ruiné, à titre de placement, la fameuse sauce Béchamel porte son nom.

    Noyelles-Sur-Mer

    Physionomie du village en 1715 avec emplacement du château, du moulin à eau et de l'Habitat.

    Une nouvelle vente réalisée en 1773 au profit du marquis de Monchy fut annulée et c'est le comte d'Artois qui fut le dernier seigneur de Noyelles.

    Le 10 germinal an VII (1799), on annonçait la vente du château tombant en ruines et ses dépendances mais sans les terres, provenant de l'émigré Charles-Philippe Capet.

     

    Noyelles-Sur-Mer

    Le château construit au milieu du 19ème siècle, qu'habitait la famille Douville de Franssu, appartenait auparavant, au début du 20ème siècle à Marc Sangnier, son monogramme était sur la grille et sur le manteau de la cheminée principale.

    Noyelles-Sur-Mer

    Douville de Franssu : écartelé : aux 1 et 4, d'azur à trois étoiles d'or

    aux 2 et 3, de gueules à la tour d'argent ouverte et ajourée de sable, surmontée de deux guidons d'or.

    Noyelles-Sur-Mer

    De nos jours, transformé en hôtel

    *

    L'église conserve une partie du transept du XVIème siècle 

    Noyelles-Sur-Mer

    En 1850

    Noyelles-Sur-Mer

    Noyelles-Sur-Mer

     


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