• Ferrières

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    Écartelé en sautoir: au 1er d'azur au souci tigé et feuillé d'or, au 2e d'or à la truelle de sable, au 3e d'or au couteau à couper le velours de sable, au 4e d'azur à la merlette d'argent.

    *

    Ce blason a été créé vers 1980 par Chantal De Tourtier-Bonazzi, conservateur général aux Archives nationales de France, et par Mireille Louis, artiste-héraldiste, qui l'a dessiné. L'une et l'autre, par leurs professions, étaient en relation.
    Ce blason a figuré en frontispice de l'ouvrage consacré par Mme de Tourtier-Bonazzi à l'histoire de Ferrières, dont les ancêtres ont pris part à l'Histoire.
    Le souci évoque les armes de la famille De Herte, seigneurs de Ferrières aux XVIIe et XVIIIe siècles (qui portait d'azur à trois fleurs de soucis d'or), la merlette celles de la famille de Tourtier (qui porte d'azur au chevron d'argent chargé de trois merlettes de sable, accompagné de trois besants d'argent), qui lui succéda au château et qui y est toujours présente.
    La truelle symbolise la corporation des maçons qui était très importante jusqu'au début du XIXe siècle dans ce village, autant que celle des coupeurs de velours, dont le "couteau à couper le velours" (ch'coutieu à trèque) rappelle le travail qui était exécuté à domicile avec cet outil, pour les négociants en velours d'Amiens.
    L'église de Ferrières est dédiée à saint André. La croix de ce saint a sans doute inspiré la partition de l'écu.
    (Jacques Dulphy)

    *

     

    Ferrières

    Le cartulaire du Gard mentionne dès 1155 un certain Radon ou Radulfus comme seigneur de Ferrières.

    Au début du 14ème siècle on trouve Guillaume de Grattepanche, sire de la Ferrière.

    Au 16ème, c'est la famille du Souich qui possède la seigneurie de la Ferrière-les-Amiens.

    Ferrières

    du Souich : écartelé : aux 1 et 4 ,d'argent à trois alérions de gueules.

    Aux 2 et 3, d'or à deux bandes de gueules.

    En 1641 Marguerite du Souich épouse Pierre de Mareuil, fils d'un conseiller au Présidial d'Amiens anobli par Henri IV, elle est inhumée dans l'église en 1687.

     Anne-Charles de Mareuil fait don du domaine à sa fille Marie-Catherine lors de son mariage avec Nicolas de Herte en 1708, seigneur de Hailles, premier président au Bailliage d'Amiens.

    Ferrières

    de Herte : d'azur à trois fleurs de soucis d'or

    Son fils, également prénommé Nicolas (1709-1778) épouse en 1751 Louise de Linars d'Aveluy, à sa mort en 1778, le domaine échoit à Germain, le second de ses 5 enfants, lieutenant au régiment d'infanterie d'Auvergne puis héritier de la charge au Bailliage.

    A l'automne 1792, Germain de Herte rejoint l'armée de Condé puis commet l'imprudence de revenir à Amiens, réfugié ensuite à Rouen, il y est dénoncé, arrêté, jugé et guillotiné le 7 juillet 1794.

    Ferrières

    Le château a été mis sous séquestre, privé de son mobilier puis mis en vente.

    Madame de Herte, née Marie-Louise Pingré de Fieffes, s'y oppose, elle obtient la restitution de ce qui reste du domaine et se réinstalle à Ferrières où elle mourra en 1843, âgée de 83 ans.

    A Frédéric de Herte mort en 1836, succèdent Charles qui subit en 1870 l'occupation prussienne, et sa fille Louise-Marie qui épouse en 1873 le baron Constant de Benoist, cadet d'une famille de Lorraine.

    En 1896, elle vend le château à la vicomtesse d'Osmoy, née Marie-Valentine du Crocquet de Saveuse, elle y meurt en 1904.

    Acquis par Louis Dehesdin puis par Georges Leri, il l'est finalement en 1923 par Jean de Tourtier (1900-1981), marié en 1923 à Marie L'Eleu de La Simone, décédée en 1924.

    Mariage en secondes noces en 1929 avec Geneviève-Marguerite-Marie de Hauteclocque.

    Maire de la commune de 1944 à 1981.

    Ferrières

    de Tourtier : d'azur au chevron d'argent, chargé de trois merlettes de sable, accompagné de trois besants d'argent.

    PC du 2ème bataillon du 21ème régiment d'infanterie en 1940, il est endommagé lors des combats du 27 mai au 6 juin.

    La famille de Tourtier est toujours propriétaire des lieux.

    Ferrières

     

    ***

    Chapelle funéraire de la famille de Herte

    Ferrières

    Eglise Saint André

    Ferrières

    en 1870


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  • Pissy

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     D'azur à deux truelles d'or passées en sautoir la poignée vers la pointe, accompagnées en chef d'une rose, en flancs de deux pommes feuillées d'une pièce et en pointe d'un poisson, le tout du même.

     

    Le blason de Pissy a été adopté par délibération du conseil municipale le 29 septembre 2017. Il a été conçu par Jacques Dulphy, avec l'aide de Daniel Juric et Arcady Voronzov, et les conseils de Philippe Poiret, maire.
    Le poisson évoque le nom de Pissy. Si ce nom vient plus sûrement d'un nom d'homme latin (Piccium?), le poisson appartient à l'étymologie populaire du lieu, Pisciacum en 751, Picciumen 1146.
    Les truelles symbolisent, comme sur le blason du village voisin de Ferrières, la présence nombreuse, jusqu'au début du XXe siècle, de maçons dans le village.
    Les pommes mettent à l'honneur une variété ancienne, la «Belle de Pissy», qui porte le nom du village dont elle est originaire.
    La rose appartient aux armes de la famille De Chassepot de Pissy, et elle a été relevée avec l'autorisation des descendants de la famille. Les De Chassepot de Pissy portaient: d'azur à la fasce ondée d'or accompagnée de trois roses du même.

    Pissy


    Les couleurs, or et azur, du blason communal sont aussi celles de cette famille dont étaient issus les derniers seigneurs et châtelains du lieu avant la Révolution, qui a marqué l'histoire du village et qui en a porté le nom.
    (Jacques Dulphy)

    Pissy

    Dessin d'Arcady Voronzov (Russie)

    (Avec son aimable autorisation)

    ****

    La seigneurie de Pissy resta divisée en deux parties jusqu'à la fin du XVIIème siècle.

    La première relevait de la baronnie dePicquigny, dans l'inventaire de 1357, elle appartenait déja aux Saisseval, avec un manoir amassé de bâtiments.

    En 1564 Charles de Louvencourt acquit l'autre partie de la seigneurie, mise en vente par l'abbaye Saint Lucien de Beauvais, gentilhomme de la Chambre du Roi, il habitait ordinairement Amiens avec son épouse Marguerite Picquet de Dourier.

    Son petit-fils Jacques-Eustache épousa en 1638 Marie-Marguerite de Conty, dame de Saulchoy et de Cléry.

    L'année suivante, il vendit à Etienne Guérin qui rétrocéda aussitôt à Charles de Saisseval, issu d'une famille fort anciennement implantée à Pissy, ce qui permit de réunir les deux fiefs.

    Pissy

    De Saisseval : d'azur à deux bars d'argent adossés

    Son fils ainé François épousa en 1675 Geneviève Fraguier et prit la succession après la mort  en 1676 de son père et de sa mère en 1680, il fait bâtir le colombier octogonal.

    Pissy

    On retrouve les armoiries des de Saisseval sur un des contreforts de l'église.

    Pissy

    Les De Saisseval de Blérencourt et d'Anville y ajoutaient quatre trèfles d'or

    En 1682, il passe marché pour la construction du château à la place de l'ancienne demeure seigneuriale, il est terminé en août 1686, il n'en jouit pas longtemps car il meurt trois ans plus tard en 1689.

    Pissy

    François-Denis son fils ainé, épouse en 1710 Marie-Françoise de Cacheleu qu'il a la douleur de perdre l'année suivante à la naissance de sa fille Marie-Françoise.

    Devenue dame de Pissy, cette dernière épouse en 1735, dans la chapelle du château, Jean-François de Chassepot de Beaumont, capitaine pour le Vol du héron de la Grande Fauconnerie de France, originaire de Bourgogne.

    Leur fils ainé Jean-François, officier de cavalerie, né à Pissy , épouse en 1769 Anne-Claire de Bourdin, dame de Monsures.

    Pissy

    de Bourdin : d'azur à trois têtes de daims arrachées et couronnées d'or

     

     

    Devenu le citoyen Chassepot, il ne peut s'opposer en messidor An II, à la pose des scellés et à l'inventaire du château, décidés par les autorités en raison de l'absence de ses quatre fils partis pour l'émigration.

    L'ainé, Aimé, baron de Chassepot de Chapelaine et de l'Empire, sera préfet à deux reprises et mourra sans alliance.

    Gustave , le second, se fixera à Avelesges, Gabriel le troisième, colonel d'infanterie mourra à Pissy en 1845, laissant un fils Léon qui sera en 1860 maire d'Amiens pendant quelques mois.

    C'est le dernier François-Timoléon qui succédera à son père, baron de l'Empire avec majorat en 1813 et colonel sous la Restauration, il obtient en 1820 l'érection de la terre en marquisat, il meurt en 1837.

    Pissy

    François-Timoléon :Institution de majorat au titre de baron d'Empire, franc-quartier des barons, brochant au neuvième de l'écu.

    Son fils Adalbert-Charles, officier aux dragons de la Garde Royale, accompagne Charles X à Cherbourg, en 1830 et partage son exil, il ne revient à Pissy qu'en 1860.

    Viennent ensuite  Alexandre, mort en 1902 et Adalbert, mort en 1957.

    Mis en vente en 1985 après la mort du colonel de Pissy, ses héritiers cédèrent le château à M. et Mme Péria qui le restaure et le mette en valeur, il appartient ensuite à M. et Mme Loïc Bernard-Sterlin.

     

    Pissy

    église Saint Fuscien en 1874

    Construite au XVIème siècle et consolidée au XVIIIème. 


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  • Saisseval

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    D'azur à deux bars adossés d'argent en chef à dextre et à trois trèfles du même rangés en barre en pointe à senestre.

     

    Les bars viennent des armes de la famille de Saisseval auxquels la commune a ajouté les trois trèfles.

    La commune a relevé le blason de la famille de Saisseval, et l'a accommodé d'une brisure qui s'inspire des trèfles que portait en brisure une branche latérale.

    Les De Saisseval directs portaient seulement: d'azur à deux bars adossés d'argent.

    Saisseval

     

    Les De Saisseval de Blérancourt et d'Anville y ajoutaient quatre trèfles d'or, posés un en chef, deux en flancs et un en pointe.

    Saisseval

     

    La famille De Saisseval apparaît pour la première fois au 11e siècle avec Enguerrand de Saisseval, seigneur de Saisseval, et la généalogie suivie remonte avec certitude à Gilles de Saisseval, seigneur de Pissy (80) en 1362.

    En 1499, Marie, dame de Saisseval, épouse Raoul de Senicourt et fait passer la seigneurie de Saisseval dans cette famille qui la conservera jusqu'au XVIIIe siècle. Deux sceaux anciens, entre autres, sont connus pour la famille De Saisseval et référencés par Demay (Sceaux de la Picardie, 1875). Il s'agit du sceau du chevalier Jacques de Saisseval (sceau de 1381, semé de croisettes à deux bars adossés, Archives de la somme) et de celui d'Augustin de Saisseval, homme d'armes de la châtellenie de Boves (sceau de 1522, à deux bars adossés accompagnés de trois quintefeuilles, sur une lettre de relief pour un fief à Sains, conservé aux Archives de la Somme). Cette famille s'est éteinte au 19e siècle, sans doute en la personne du comte Joseph-César de Saisseval, né à Bonneleau (60) en 1804, président du Tribunal civil de Reims et mort en 1874 sans postérité.
    (Jacques Dulphy)

    Saisseval

     En 1692, Jean de Senicourt, maréchal de camps des armées du Roi, a été inhumé dans le choeur de l'église. 

    Au début du règne de Louis XVI, Jean-Baptiste Nicolas Durieux, négociant et manufacturier en drap à Amiens, achète la terre aux Lameth, héritiers de la dernière des Senicourt.

    Avec son épouse Marie-Anne Galand, il se partage entre son hôtel et son peti-château de Creuse.

    A sa mort en 1783 il est inhumé dans le choeur de l'église.

    Son fils J-B-Fidèle se marie en 1816 avec Alexandrine de Bray , il meurt sans postérité. 

    Le château était situé près de l'église, il n'en reste aucun vestige.

    Saisseval

    église et porte du château vers 1870.

    Saisseval

    Porte du château à la fin du 19ème siècle.

    Saisseval

     

    Ce qui reste actuellement.

     


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  •  

    La commune ne possède pas de blason.

     

    la commune ne reconnaît, ni n'a reconnu, ni ne porte de blason. Celui-ci est celui d'une famille de Quevauvillers, qui n'a par ailleurs jamais été seigneur du lieu. (Jacques Dulphy)

    Quevauvillers

     

    armes fausses 

     

    Projet de Jacques Dulphy sur un dessin de Daniel Juric

    Armes en partie parlantes (quevau : cheval en picard), ce qui associe aussi l'idée d'un ancien relais de poste à diligences, avec trois besants extraits des armes figurant sur le sceau du chevalier Jehan de Kevauviller en 1329, les couleurs sont empruntées aux armes de la maison Tyrel de Poix qui tint la seigneurie.

    Quevauvillers

     

     

     

    Quevauvillerscliquer pour agrandir

    Entrée du château et Halle 1877. 

     

    Quevauvillers

     

    Quevauvillers

    de nos jours

     

    Il existait à Quevauvillers 2 seigneuries qui possédaient chacune un château.

    Celui qui appartenait au 16ème siècle à la famille d'Estrées et qui passa ensuite successivement par mariages aux de La Rue (16ème et 17ème), aux Crény (18ème), situé vers Courcelles, a totalement disparu.

    Le second, mentionné en 1220 appartenait aux Tyrel de Poix jusqu'en 1417 où Philippe Tyrel vendit la seigneurie aux de Cayeu, d'où elle entra par alliance dans la famille de La Tramerie.

    En 1543 Jeanne de La Tramerie l'apporta en mariage à Charles de Gomer, seigneur de Cuignières en Beauvaisis.

    Le château est daté de 1647, il est l'oeuvre de François de Gomer (1603-1671), il épousa en 1629 Marie de Maulde.

    Quevauvillers

     

    A.Froidure

    De Gomer : d'or, au lambel d'azur en fasce, accompagné de sept merlettes de gueules.

     

    Quevauvillers

    Blason sans le lambel sur un vitrail de l'église

    Louis de Gomer (1669-1746) le modifia et l'agrandit en 1720 puis en 1732, il participa également à la construction de l'église voisine, il meurt en 1746 et inhumé dans la chapelle.

     

    Son fils François-Charles (1704-1751) contracta une brillante alliance en 1717 avec Gabrielle de Mornay-Montchevreuil.

    Son second-fils Louis-Gabriel de Gomer, né en 1718 à Quevauvillers,fera une brillante carrière dans l'armée, inspecteur général de l'artillerie, maréchal de camp (général), nommé en 1774 commandant de l'école d'artillerie de Douai où il rédige sa théorie sur les mortiers qu'il fait dûment expérimenter, il meurt en 1798.

    Charles-Gabriel (1735-1800), fils de François-Charles, officier aux Gardes françaises, épousa en 1761 Marie-Josèphe Pingré sa voisine de Fricamps.

    Quevauvillers

    Pierre tombale de Marie-Josèphe Pingré dans la chapelle de l'église

    Né en 1762 Alexandre de Gomer, officier de cavalerie, épouse Reine Jolly de la Vieuville, en 1817, 2 ans après Waterloo, il héberge quelque temps les services de la préfecture.

    Quevauvillers

    Pierre tombale de la famille de Gomer

    A sa mort en 1842, le château perd sa vocation résidentielle et ne la retrouva seulement en 1876 lorsque Paul de Gomer en hérite.

    Occupé par les armées  alliées en 1914-1918 puis par les aviateurs allemands de la base de Croixrault en 1940-44.

    Le domaine est remis en état par le dernier comte de Gomer et sa fille Marie-Gabrielle, comtesse de Percy.

     

    Quevauvillers

     


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  • Saint-Sauveur

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    D'argent au louchet de tourbier de sable en pal, accosté de deux briquettes du même enflammées de gueules; au chef d'or chargé de trois canards de sinople en vol.

    ***

    Le blason, de conception moderne, porte en chef trois canards en vol, qui évoquent le marais de la Somme. Le louchet de tourbier et les deux briques de tourbe en flamme rappellent que jusqu'au XIXe siècle, l'extraction de la tourbe, pour le chauffage, procurait un emploi important dans le village.
    (Jacques Dulphy)

    Saint-Sauveur

     

    Fronton de la mairie
    (Photo de J. Dulphy)

     

    Saint-Sauveur

    Autocollant sur un véhicule communal.
    Photo Jacques Dulphy, 2017)

    Saint-Sauveur

    Plaque de rue (photo Remus80)

    Saint-Sauveur

    Base de loisirs (photo Remus80)

    ***

    En 1463 Antoine Clabault possédait la terre et seigneurie d'Hédicourt que l'on dit Saint-Sauveur, acquise par son père Pierre.

    Saint-Sauveur

    Antoine Clabault, 17 fois maïeur d'Amiens de 1471 à 1503, statue sur la façade de l'hôtel de ville d'Amiens

    Saint-Sauveur

    Clabault : de sinople à l'escarmouche pommetée d'or

     

    A la fin du XVIème siècle, Jean de Mons, seigneur de La Broye, avait épousé Antoinette Le Mattre, fille de Jeanne Le Berquier, dame d'Hédicourt.

    Au XVIIème siècle lui avaient succédé Jacques de Mons, conseiller au Présidial d'Amiens et son fils Claude (1591-1677), seigneur d'Hédicourt-St Sauveur, trésorier de France et poète.

    Puis un autre Jacques de Mons, chevalier, et son épouse Catherine-Thérèse Guillard de Lannoy.

    Leur fille Agathe de Mons épousa en 1786 en la chapelle du château, Jean-Baptiste Fouache d'Halloy.

    La famille de Mons d'Hédicourt dut conserver le domaine jusqu'au milieu du XIX ème siècle comme en témoignent les nombreuses stèles d'époque Louis-Philippe recueillies lors de la démolition de l'ancienne chapelle funéraire accolée à l'église.

    Saint-Sauveur

    Ecartelé : en 1: famille de Morvillers

    en 2 : famille Clabault

    en 3 : Famille Le Mattre

    en 4 : famille de Mons 

    Saint-Sauveur

    Armoiries sur la chapelle funéraire au cimetière

    Le château fut vraissemblablement élevé dans la première moitié du XVIII ème siècle et fut encadré vers 1840 d'ailes de deux travées en briques.

     

     

    Saint-Sauveur

    Au XIX ème siècle il appartenait à la famille de Tourtier.

    Occupé pendant la dernière guerre et longtemps délaissé par la suite, il était en fort mauvais état lorsque la famille Créton de Limerville en entreprit la remise en état.

    Saint-Sauveur

    (dessiné par O.de Chavaignac pour l'Armorial des As)

    Creton de Limerville : d'azur à la croix engrelée d'argent

    *

    Eglise Notre-Dame de la Trinité

    Construite à la fin du XVème siècle

    La toiture de la nef a été incendiée au XVIIIème

    De nombreuses réparations

     

    Saint-Sauveur 

    église en 1864. 

    Saint-Sauveur

    Saint-Sauveur

    Mairie-école


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