• La commune ne possède pas de blason officiel.

     

     

    Projets de blason proposés par Jacques Dulphy reprenant les armes de la famille de Bayencourt.

     

    BayencourtBayencourt

     

     Mise en garde : il existe un hameau de Bayencourt à Ressons-sur-Matz (60) avec lequel la commune peut-être confondue.

     Une famille de Bayencourt dont sont issus les seigneurs du lieu est notée aux XI, XII et XIIIème siècle, comme Wauthier de Bayencourt (1165-1227).

    De cette maison était Pierre de Bayencourt, seigneur de Bouchavesnes.

    Elle portait d'argent à cinq tours de gueules.

    Bayencourt

    Gouache de Marcel Stiennon. 

     

    Dans le courant du XIIIème siècle, la famille de Mailly prend possession de la seigneurie et semble l'avoir conservé jusqu'au 16ème siècle.

    Bayencourt

    d'or au trois maillets de sinople.

     

    *

    Eglise Saint Nicolas

    18ème siècle.

    Bayencourt

    Aquarelle d'O.Macqueron 1876-bibliothèque d'Abbeville.

    Avant la Révolution, le clocher et la charpente du choeur portaient les armes des de Mailly et des de Bayencourt. 

    Bayencourt

    en 1912.

    Bayencourt

    de nos jours (photo Claude Deroletz)


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  • La commune ne possède pas de blason officiel.

     

    Projet de blason proposé par Jacques Dulphy avec un rossignol posé sur une branche de tilleul, symbolisant la ferme du Rossignol et le tilleul remarquable, associés à une divise ondée symbolisant la source de l'Authie, et un croissant repris des armes du général Cavrois

     

    Coigneux

     Dessin de Daniel Juric.

     

    Autrefois importante seigneurie.

    En 1223, l'évêque Geoffroy mentionne Gilles de Coignuel comme vavasseur (vassal d'un vassal).

    Le hameau de la ferme du Rossignol ( autrefois Lorsignol) où il y avait à l'époque médiévale un château-fort (ferme fortifiée).

    Coigneux

    Source de l'Authie au lieu-dit Fontaine du Rossignol.

    Un tilleul remarquableSelon la tradition orale, il aurait été planté vers 1660 par Henri de La Tour d'Auvergne, vicomte de Turenne et maréchal de France.

     Par la suite, une statuette représentant Notre-Dame de Consolation fut placée dans une niche naturelle de l’arbre. La coutume locale voulait que la population s’y rende en procession. Les cortèges funèbres se dirigeant vers le cimetière s’y arrêtaient sous les chants des membres du clergé.

    Le général et baron d'Empire Jean-Baptiste-Alexandre CAVROIS est né en 1774 à la ferme du Rossignol où ses parents étaient fermiers.

    Coigneux

     Coupé : au 1, parti a) d'or à trois étoiles d'azur, b) du quartier des barons militaires de l'Empire ; au 2, d'azur, à un croissant d'argent.

                                                                          *

                                                            Eglise Saint-Géry

    Coigneux

     

    Aquarelle d'O.Macqueron 1876-bibliothèque d'Abbeville.

    L'ancienne datait de 1774 , une plaque commémorative du général Cavrois se trouvait à l'intérieur.

    En juillet 1916, l'explosion d'un dépôt de munitions souffla l'église et la mairie-école.

    Les trois édifices furent rebâtis entre 1928 et 1931.

    Coigneux

    église actuelle (photo Ybroc)


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  • La commune ne possède pas de blason officiel.

     

     

    Projet de blason : Les armes de l'abbaye d'Eaucourt, écartelées à celles de la maison de Miraumont.

    Irles

     

     

     

    Il n'y eut pas de seigneurs du nom d'Irles. Le domaine était partagé entre :

    >> l'abbaye d'Eaucourt (qui portait "d'azur à un clocher d'argent acccosté de deux étoiles d'or").

    Irles

     

    Damay décrit un sceau de 1315 de l'abbaye : "la façade d'une église au clocher en flèche et accosté de deux étoiles". (Archives du 62). Ces armes ont été relevées récemment par la commune de Warlencourt-Eaucourt.

    L'abbaye d'Eaucourt s'élevait à peu de distancre de Pys et de Courcelette, près du village de Warlencourt. C'était une abbaye d'hommes fondée en 1101 (aujourd'hui, commune de Warlencourt-Eaucourt, dans le Pas-de-Calais).

    >> La famille de Vaulx au XVIe siècle. Il existe plusieurs familles de ce nom, d'où un risque de confusion pour les armes.

    >> La famille De Miraumont (dont Philippe de Miraumont, qui se disait en 1532 seigneur de Miraumont, d'Irles et de Beauregard, hameau de Miraumont. La famille portait : D'argent à 3 tourteaux de gueules.

    Irles

    *

    Eglise Saint-Martin

    L'ancienne église datait de la fin du XVIIème siècle.

    Irles

    Aquarelle d'O.Macqueron 1877-bibliothèque d'Abbeville

    Irles

    en 1909

     

    Détruite pendant la Première Guerre, reconstruite en 1929-1930.

    Irles

    Irles

    Irles

     

     



     

     




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  •  

     

    Frise

    http://armorialdefrance.fr/ 

     

    Tiercé en pairle renversé: au 1er de gueules au coq d'or, au 2e d'or au coquelicot au naturel tigé de sinople, au 3e d'azur à trois burelles ondées d'argent et au poisson d'or brochant sur celle du milieu.

     

    Création Jean-François Binon.
    Adopté le 1er février 2019.
    Le coq est l'attribut de saint Pierre, le coquelicot rappelle les souffrances de la Première Guerre Mondiale, les ondes et le poisson symbolisent la Somme qui arrose la Commune.

    *

    L'étang de la Grenouillère, une cense du terroir de Frise, appartenait à l'abbaye de l'Abbaye Saint-Barthélémy de Noyon qui en était seigneur et propriétaire.

    L'abbaye d'Homblières possédait des eaux avec droit de pêche. 

    Le village fut totalement détruit pendant la Première Guerre.

    *

    Eglise Saint Pierre

    Frise

    Aquarelle d'O.Macqueron 1877-bibliothèque d'Abbeville.

     

    Détruite pendant la Première Guerre.

    Frise

    FriseFrise

     

    Frise

     

    Reconstruite en 1930

    Frise

    photo : A.Pictche


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  • La commune ne possède pas de blason officiel.

     

     

    Projet de blason proposé par Jacques Dulphy reprenant les armes de la famille Hoschedé, sur lesquelles le tourteau central de la tour est remplacé par une croix templière

     

    Laviéville

    Bocacourt est un ancien village disparu, était situé entre Laviéville et Hénencourt.

    On trouve Quelques anciens seigneurs de La Viéville et de Bocacourt, ces derniers paraissent avoir eu plus d'importance puisque La Viéville était sous la dépendance de Bocacourt.

    En 1163, on trouve Robert de Burgacourt (Bocacourt), en 1178 il souscrit à la charte de commune de la ville d'Ancre.

    Au XIIIème siècle, Robert Waubert puis son fils Jacques qui laisse aux Templiers leurs droits sur un manage.

    En 1282, vente aux mêmes chevaliers du Temple par Jean d'Escourt.

    Au XIVème siècle, en 1382 Jean Castel est sire de La Viéville.

    Au XVIIème siècle, Jean Hoschedé (1636-1721) en est le seigneur.

    Cette famille jusqu'à la Révolution.

    Laviéville

    Hoschedé : de gueules, à une tour d'argent chargée de trois tourteaux d'azur posés l'un sur l'autre, et accompagnée de trois besants d'or rangés en chef.

    *

    Eglise Notre-Dame

    Laviéville

    Aquarelle d'O.Macqueron 1877 

    Laviéville

    Ancienne église détruite pendant la 1ère Guerre.

    Laviéville

    église actuelle reconstruite en 1933 ( photo Ybroc)

    Laviéville

    Dans les années 1980, un ouvrier agricole en train de labourer remonte cette croix de grès avec sa charrue. Réinstallée à la fin de l'année 2001 près de l'église, ses origines sont mystérieuses. Est-ce une simple croix de tombe? On aimerait aussi établir un lien avec les Templiers ou les Hospitaliers qui ont possédé la Terre de Laviéville jusqu'au 17e siècle, mais cela reste une simple hypothèse.


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