• Ancienne armes de la famille des sires de Poix

    Poix de Picardie

    De sable à trois aiglettes d'or ayant leurs ailes étendues, posées deux et un .

    Poix de Picardie

    Bien que la commune ai choisi en 1971 de relever le blason de l'illustre Famille des Tyrel de Poix dont elle est le berceau, il semble que depuis les années 90, elle se soit accomodée d'un nouvel écu : d'azur à la tour d'or, accostée de deux croisettes recroisettées au pied fiché d'or.

    Poix de Picardie

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    Variante avec épées basses d'argent garnies d'or

    Poix de Picardie

    Le blason des Tyrel de Poix (de gueules à la bande d'argent accompagnée de six croisettes recroisettées et fichées d'or) est, pour autant, toujours visible sur les panneaux de l'Office de tourisme local; mais les enveloppes de mairie ont porté, des années 1990 au début des années 2000: "d'azur à la tour d'or maçonnée et ouverte de sable, accostée de deux croisettes recroisettées au pied fiché d'or", surmonté de la devise latine: "Et Semper Manet" (Elle reste toujours).

    Poix de Picardie

    Ces croisettes, inspirées des armes des Tyrel, d'abord peintes de sable (à enquerre) puis d'argent, sont elles-mêmes devenues au fil des années... deux épées basses d'or, qu'on trouve aussi parfois garnies d'argent ! Ce "nouveau" blason a accompagné la mode des pin's; pin's commerciaux sur lesquels il s'est reproduit, alors, à peu près tout et n'importe quoi en France en matière d'héraldique municipale.

    Depuis lors, à Poix, la rigueur héraldique ne s'est, semble-t-il, jamais rétablie. Dommage pour un bourg aussi chargé d'Histoire que l'est le vieux Poix, dont les seigneurs portaient au Moyen âge le titre de princes .
    (Jacques Dulphy)

    Poix de Picardie

    Blason des Tyrel de Poix : de gueules à la bande d'argent, accompagnée de six croisettes recroisettées et fichées d'or, posées trois et trois.

    Devise : SINE TIMORE (Sans Crainte)

    Poix de Picardie

    On retrouve ce blason sur le bâtiment de la Justice de Paix depuis le Second Empire, avec une couronne murale de quatre tours.

    Poix de Picardie

    ancienne porte du château

    Poix de Picardie

    L'église paroissiale Saint-Denis de Poix-de-Picardie est assise pittoresquement sur Montcille (Ainsi nommé parait-il, parce qu'il était situé à l'emplacement d'un temple dédié à Mercure) dominant la ville qu'elle semble protéger. On y accède par la rue Porte-Boiteux, par une rampe et des marches aboutissant à l'ancien château, dont la chapelle est devenue l'église du prieuré Saint-Denis, fondé par Gauthier Tyrel III vers 1118.

    En 1346, trois jours avant la Bataille de CrécyEdouard III d'Angleterre brûla la ville et l'église.

    En 1358, les Jacques occupèrent une partie du château et l'incendièrent.

    Reconstruites, la ville et l'église sont à nouveau brûlées en 1472 par Charles le Téméraire.

    Poix de Picardie

    L'église actuelle fut reconstruite, dans la "baille" du château des princes de Poix, selon les plans de Jean Valon, architecte, à la demande de Jean VIII de Créqui, et embellie par le Cardinal Antoine de CréquyÉvêque d'Amiens. Seule la base du clocher du XIIe siècle et le pan de mur servant de contrefort qui lui fait suite paraissent avoir subsisté de l'ancien état des choses.

    Poix de Picardie

    Commencés en 1538, le chœur et le transept du nouvel édifice sont terminés en 1540.

    En 1698, la tempête arracha la porte du clocher, puis ce fut l'inondation de 1702 par suite d'un orage et en 1707 l'incendie.

    Le 14 septembre 1792, l'église fut fermée. Pendant la Terreur, elle fut transformée en entrepôt, puis en étable à bœufs.

    Le 7 thermidor de l'an X, l'église fut rendue au culte sous le vocable de la Sainte-Vierge.

    Elle fut restaurée au XIXe siècle.

    L'édifice fut classé au titre des monuments historiques en 1910.

    Bombardée en 1940, sa restauration ne fut terminée qu'en 1956 pour le chœur et le transept et en 1962 pour la nef. (Wikipedia)

    Poix de Picardie

    Poix de Picardie

    Clé pendante avec les armoiries des De Créquy.

    Poix de Picardie

    D'or au créquier de gueules.

     


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  • Le blason de Folleville réunit les armes des deux familles qui ont possédé

    successivement la seigneurie : les De Folleville et les De Lannoy

    D'or à dix losanges de gueules accolés et aboutés, 3,3,3 et 1 (De Folleville), au

    chef échiqueté d'or et d'azur de trois tires (De Lannoy).

     

    FOLLEVILLE

     

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    FOLLEVILLEDe FollevilleFOLLEVILLEDe Lannoy

     

    Jeanne de Folleville, fille de Jean de Folleville,épousa Antoine de Poix.

    Leur fille Jeanne de Poix épousa Raoul de Lannoy en 1490 qui deviendra de fait seigneur de Folleville, il n'était pas issu de la famille des de Lannoy de noblesse flamande, mais d'une famille du Ponthieu qui portait : échiquté d'or et d'azur.

    Devise de de Lannoy : Craindons Lannoy, Mieux en aurons

     

    Folleville

    On retrouve le blason des de Folleville sur un bâtiment communal

    FOLLEVILLE

    Sur le portail d'entrée du château

    FOLLEVILLE

    Tombeau de Raoul de Lannoy et de Jeanne de Poix

    Le blason de gauche écartelé en 1 et 4 de Lannoy-Damereaucourt et en 2 et 3 de Neuville-Martinghen

    Le blason de droite écartelé en 1 de Lannoy, en 2 de Poix, en 3 Neuville-Martinghen et en 4 de Folleville.

    FOLLEVILLE

    FOLLEVILLE

    On retrouve plusieurs blasons sur le tombeau de François de Lannoy et de Marie d'Hangest

    FOLLEVILLE

    Les différentes familles représentées sur les blasons 

    De Folleville : d'or à dix losanges de gueules accolés et aboutés 3,3,3 et 1

    FOLLEVILLE

    De Lannoy-Damereaucourt : échiqueté d'or et d'azur

    FOLLEVILLE

    Jeanne de Poix (épouse de Raoul de Lannoy) : de gueules à la bande d'argent de six croix recroisetées et fichées d'or 3 et 3

    FOLLEVILLE

     

    Marie-Marguerite de Neuville-Martinghen ( épouse de Thomas Flameng de Lannoy) : d'or fretté de gueules

    FOLLEVILLE

    Marie d'Hangest (épouse de François de Lannoy) : d'argent à la croix de gueules, chargée de cinq coquilles d'or

    FOLLEVILLE

    Marie d'Amboise (Mère de Marie d'Hangest) : palé d'or et de gueules de six pièces

    FOLLEVILLE

     Sur l'enfeu : en 1 de Lannoy, en 2 d'Amboise, en 3 de Nueuville-Martinghen, en 4 d'Hangest.

    FOLLEVILLE

    Sur les fonts baptismaux

    FOLLEVILLE


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  • Le blason de la commune de Tilloloy

    De sable fretté d'argent entre-semé de fleurs de lis or.

     

    Tilloloy

     

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    Le blason combine les armes de deux maisons:

    Belleforière (de sable semé de fleurs de lis d'or)

    Tilloloy

    et Soyécourt (d'argent fretté de gueules).

    Tilloloy

     

    Le blason de la commune de Tilloloy, qui était déjà en usage lors de la publication l'Armorial des communes de la Somme en 1972, combine les armes de la famille De Soyécourt et celles de la famille De Belleforière, qui furent toutes deux seigneurs, comtes et châtelains du lieu. En 1293, Hue de Soyécourt, seigneur de Soyécourt et de Franvillers, transmet les deux seigneuries à son fils, Huon de Soyécourt. Dernière parmi les seigneurs du nom, Anne-Françoise de Soyécourt, épouse de Pontus de Belleforière, est seigneur en 1580.

    Les De Soyécourt portaient: "d'argent fretté de gueules", les De Belleforière portaient: "de sable semé de fleurs de lis d'or" ( Au fronton des grandes écuries du château de Tilloloy, figuraient les armes de Charles-Maxilimien de Belleforière, marquis de Soyécourt et de Roye, comte de Tilloloy, maître de la garde-robe du roi, grand veneur de France en 1669, mort en 1679. Le blason était supporté par deux loups et timbré d'une couronne de marquis. Pour la commune, le fretté est devenu de métal, d'argent en l'occurence, pour ne pas constituer une enquerre.
    (Jacques Dulphy).

     

    Le château du 17ème siècle fut bombardé et incendié lors de la Première Guerre Mondiale, il ne restait en 1918 que des pans de murs.

    Il fut reconstruit à l'identique au début des années 1930 à l'initiative de la comtesse d'Hinnisdal.

    Tilloloy

    Armoiries des de Belleforière sur le fronton de la façade principal

    Tilloloy

    Tilloloy

    Sur le fronton de la façade sur le parc, armoiries des D'Hinnisdal

    Tilloloy

    De sable au chef d'argent chargé de trois canettes de sable becquées et membrées de gueules.

    Tilloloy

    Fronton des Grandes Ecuries avec les armes des Belleforière entourées de chevaux, de chiens, de cerfs et de deux cors de chasse, attributs distinctifs du grand veneur Charles-Alexandre-Maximilien-Antoine de Belleforière.

    Restauré par Edmond Duthoit.

    Tilloloy


    Blason des Soyecourt sur une borne.

    Tilloloy

    Tilloloy

     

     

     

     

     

     

     

     


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  • Moreuil

    Ce sont les armes de la famille De Moreuil, et plus précisément celles de Bernard III, sire de Moreuil en 1243, qu'a relevées la commune, et qu'elle utilise sur ses documents officiels. Ces armes sont connues par plusieurs sceaux ou contre-sceaux de 1243, 1259 et 1265 conservés aux Archives départementales de la Somme.

    Moreuil

    Les premiers seigneurs de Moreuil connus étaient issu des comtes de Soissons. Premier du nom, Bernard 1er de Moreuil, fils de Guillaume de Soissons, fonde en 1109 le prieuré de Saint-Vaast, érigé en abbaye en 1148, où les seigneurs de Moreuil eurent leur sépulture. La seigneurie de Moreuil resta dans cette famille jusqu'à Jean II de Soissons-Moreuil, bailli du Vermandois, vivant en 1509; il eut deux filles, mais le domaine resta dans sa descendance jusqu'à la Révolution.
    Une intéressante légende héraldique s'attache au blason des De Moreuil, et de la ville de Moreuil par voix de conséquence. Bernard II de Moreuil, seigneur de Moreuil et de Brienne, maréchal de France en 1137, avait rendu de grands services au roi Louis VII, à qui il aurait sauvé la vie au cours de la 2e croisade, en 1147. Répondant au roi qui lui demandait ce qu'il voulait en remerciement de son acte, il répondit qu'une seule fleur de lis sur son écu suffirait à son honneur. Le roi, selon son expression, lui en concéda "par millions", ce que les hérauts d'armes traduisirent par un rébus picard: des fleurs de lis posées par mi-lion.
    (Jacques Dulphy)

    Moreuil

     

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    D'azur semé de fleurs de lis d’or, au lion naissant d'argent brochant sur le tout.

    Moreuil

    Blason au fronton de l'hôtel de ville. L'hôtel de ville a été reconstruit en 1931 après les destructions de la Grande Guerre. Le lion n'y est pas naissant, mais représenté par sa tête seule, et coupée. De même, le champ n'y est pas semé de fleur de lys, mais de besants. On ne connaît pas l'origine de ces erreurs manifestes. Les besants (pas plus que la tête coupée) ne se justifient, sinon, pour les seconds, par un refus des lys.
    (Photo Jacques Dulphy, 2013)

    Moreuil

    Médaille-jeton portant la date de 1214, restitution de l'époque Louis XV à la gloire des Soissons-Moreuil.

    Moreuil

     

    La seigneurie appartenait au Moyen-Âge à une branche cadette des comtes de Soissons.

    En 1109 Bernard de Soissons-Moreuil y fonda un prieuré dédié à Saint-Vaast, érigé en abbaye en 1140 qui devint le lieu de sépulture de sa famille.

    Moreuil

    En 1170 Bernard II fonda une chapelle dans le château.

    Saccagé en 1353 par la Jacquerie, puis relevé, le château appartint au début du XVème siècle à de puissants personnages partisans des Bourguignons.

    Thibaut de Soissons-Moreuil est en 1415 gouverneur de Boulogne et de Picardie, son fils Waleran est chambellan de Philippe Le Bon et bailli d'Amiens, il meurt en 1464.

    En 1434, la place tombe aux mains des partisans du roi de France Charles VII et l'armée bourguignonne vint aussitôt l'assiéger, elle s'en empare au terme de 8 jours de siège et la fait démolir.

    Dès 1473, Jean de Soissons-Moreuil se tourne vers le parti royal et livre à Louis XI la place de Roye, devenu prince de Poix, bailli du Vermandois puis capitaine d'Abbeville, il est à la fin du XVème siècle l'un des plus puissants personnages de Picardie.

    En 1497, sa petite fille Jossine épouse Jean VII de Créqui dit "Le riche", gouverneur de Montreuil.  

    Moreuil

    De Créqui : D'or au créquier de gueules

    Devise : Qui s'y frotte, s'y pique

    Moreuil

     

    Leur fils Jean VIII de Créqui, prince de Poix, meurt en 1555.

    Vraissemblablement rebâti à la fin du XVème siècle par Jean de Soissons-Moreuil, le château garde en 1588 assez d'importance pour que la ville d'Amiens y fasse tenir garnison au nom de la Ligue.

    Charles de Blanchefort-Créqui (mort en 1638), prince de Poix et duc de Lesdiguières, maréchal de France, ne s'intéresse pas aux vieux château qu'il a hérité en Picardie.

    En 1636 les Impériaux s'emparent du château.

    Au début du XVIIIème siècle, après la mort de François de Créqui et de Catherine Rougé du Plessis-Bellière son épouse, Moreuil échoit à leur neveu Louis de Rougé.

    Moreuil

    de Rougé : de gueules à la croix pattée d'argent

    Devise : Rougé rugit mais ne rougit

     

    Déclaré bien national et mis en adjudication en l'an IV.

    Sous l'Empire, Bonabes-Alexis marquis de Rougé (1778-1839) fait élever un grand corps de logis mais il ne réside que très peu en Picardie.

    Moreuil

    Il laisse le château au second de ses fils, le marquis de Plessis-Bellière, sous-lieutenant de hussards de la Garde Royale (1809-1888).

    Fille unique du marquis de Pastoret, la marquise de Plessis-Bellière décède sans postérité en 1890, instituant le pape Léon XIII légataire universel.

    La famille conteste le testament et obtient gain de cause, le château est alors vendu en 1897 à M. de Liégeard.

    Moreuil

    occupé en 1916.

    Il est pratiquement détruit en 1918 et ses ruines rasées.

    Moreuil

    Moreuil

    Les ruines des deux tours qui subsistent encore constituent le seul vestige de l'un des plus importants châteaux de Picardie.

    MoreuilMoreuilPhotos by Chris

     

    Moreuil

    Ancienne église avec porche du XVème siècle

    Moreuil

    en 1904.

    Moreuil

     

     

     

     

    Moreuil

    Catherine de Rougé du Plessis-Bellière, duchesse D'Elbeuf par son mariage.

     


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  • Rue

     

    Rue

    Le blason de Rue est tantôt dessiné ou blasonné coupé, tantôt dessiné ou blasonné au chef. Bien que la première partition soit celle retenue par l'Armorial de la Somme (1972), la commune de Rue fait aujourd'hui, en abondance, l'usage exclusif d'un blason "au chef".

    D'azur aux trois lettres capitales R, U et E d'or, ordonnées 2 et 1; au chef d’azur à trois bandes d'or et à la bordure de gueules.
    Le chef est aux armes du Ponthieu (avec inversion des émaux azur et or)

     

    Rue

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    Les archives de l'Hôtel-Dieu de Rue montrent plusieurs sceaux de la commune ancienne de cette ville, au XVe siècle, qui présentent ce blason. Au XIVe siècle, le sceau du maire de Rue (érigée ou confirmée en commune en 1210 par Guillaume III de Ponthieu) représentait le maïeur debout armé d'une épée dressée, coiffé d'un casque carré, se défendant d'un écu sans blason et combattant un lion. Une matrice de ce sceau est conservée au musée d'Abbeville, une autre plus tardive au musée d'Amiens. D'après l'Armorial de la Somme, un autre sceau de la même époque aurait porté une aigle au vol abaissé.
    Toujours est-il qu'à la fin du XVe siècle, la commune de Rue, dont le maire utilise toujours un sceau à l'homme debout et armé combattant un lion, fait usage complémentaire d'un contre-sceau orné d'un écu portant le mot "RVE" sous un chef chargé de trois bandes à la bordure, qui est De Ponthieu avec inversion des émaux azur et or.

    Rue

    Ces sceau et contre-sceau apparaissent sous un accord au sujet d'une dîme en 1489. Ce document est conservé aux Archives de la Somme, provenant du chapitre de la cathédrale d'Amiens.
    (Jacques Dulphy)

                                                             *

    Rue

     

     La ville était très bien fortifiée, au XVIème siècle on la citait encore au rang des principales forteresses de Nord de la France.

    La destruction des murailles et de la citadelle en 1668 fut imposée à Richelieu comme condition sine qua non du traité d'Aix-la-Chapelle.

    Souvent assiégée et prise, pas moins de 23 fois en 300 ans.

    Voici les nom des capitaines et gouverneurs de la ville.

    Rue

     

                                                                        *

                                                              Le Beffroi

     

    Rue

    Un premier beffroi fut construit en 1214, dès l'achat au Comte de Ponthieu de la charte qui accorde les libertés communales à la population de la Ville de RUE.
    Endommagé au cours des conflits puis reconstruit après la Guerre de Cent Ans, le beffroi actuel présente une partie basse datant du XVème siècle.

    On retrouve le blason sur le beffroi

    Rue

    *

    La chapelle du Saint-Esprit

    Rue

    Construite entre 1440 et 1515, c'est un bijou de l'art gothique flamboyant picard, bâtie afin d'accueillir des pèlerins venus vénérer un crucifix miraculeux venant de Jérusalem trouvé dans une barque qui s'échoua au port en 1101. Elle est décorée d'une dentelle de sculptures décoratives, et comprend de remarquables voûtes élevées, ornées de clés de voute pendantes

    Rue

    Au-dessus du tympan, deux petits animaux tiennent dans leurs pattes le blason.

     


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